Pseudo : Jonas Blake
Âge : 24
Lieu de résidence : Brest
Ce que vous faites dans la vie : Ecole de commerce
Vos passions/Loisirs : Golf, Jeux vidéo, tir sportif.
Expériences de jeux vidéo : Arma III, DayZ, CS-GO et tout un tas d'autres jeux
Expériences RP : +800h
Nom et prénom de votre personnage : Blake Jonas
Age de votre personnage : 38 ans
Nationalité de votre personnage : Irlande du Nord
Langue parlé de votre personnage : Anglais, français
Taille de votre personnage : 1,87
Poids de votre personnage : 82 kg
Né à Coleraine, dans le Nord de L’Irlande, j’y ai vécu une enfance ordinaire, mon père travaillant dans une distillerie, ma mère s’occupant du foyer. J’avais un frère, William. Nous possédions un petit lopin de terre, que nous cultivions intensément afin d’en revendre la récolte sur les marchés voisins.
Mon avenir été tracé. Je semblais prédestiné à un métier manuel, tel que mon cousin qui était devenu ferrailleur, mon frère, qui vivait de sa passion : la pêche en haute mer. Peu d’adolescents de mon âge parvenaient à suivre des études et à quitter cette région. Les temps étaient durs pour les foyers vivant en périphérie des villes comme le nôtre, et le travail au sein de la famille était une valeur prédominante.
Je réussi toutefois à convaincre ma mère de poursuivre mes études à L' Université d'Ulster, bien décidé à prendre mon avenir par les cornes.
Ce fut une révélation pour moi. Les études m’intéressaient, non, mieux : elles me passionnaient. Trois ans après mon inscription à Ulster, j’obtenais une bourse pour l’Université de Londres. Je quittai, non sans mal, ma famille, en leur promettant de correspondre régulièrement.
Lors d’un cours de Sociologie en 2ème année, nous avions débattu concernant le massacre du 30 janvier 1972 en Irlande du nord, ma terre natale. Tuerie communément appelé le Bloody Sunday, durant laquelle des soldats de l’armée britannique avaient ouvert le feu sur des passants, qui manifestaient pacifiquement pour les droit civiques. Une honte pour la nation
Le sujet m’ayant marqué, je m’intéressai de plus en plus aux conflits nationaux, opposants différents groupes idéologiques, tous rongés par l’avidité du pouvoir.
Quelques années plus tard, je rentrai dans la section contre-ingérence du MI5. L’équipe dans laquelle j’opérai était donc chargée de récolter des informations sensibles concernant de possibles attaques provenant de l’intérieur du territoire du Royaume Unis.
J’adorais mon métier, je me sentais utile, et surtout loyal envers mon pays. Ce sentiment de patriotisme était pour moi la plus belle des récompenses. J’étais fier de ce que j’étais devenu. Et je le faisais savoir lors des nombreuses visites à ma famille.
Mon travail payait, et des années plus tard j’étais promu au sein du MI6, chargé du renseignement extérieur. De nouvelles perspectives s’offraient à moi.
L’équipe dans laquelle j’étais se penchait activement sur un cas particuliers, une sorte de no man’s land, une île au nom grecque, au nord-est de la Mer Egée. L’île d’Altis. De nombreux cas et témoignages rapportaient que des milices privées avaient pris le contrôle du territoire et y faisaient régner la peur. Le pays avait subi un exode important, et les rares civils restants faisaient profils bas.
Après plusieurs mois de travail, nous ne parvenions pas à obtenir de renseignements suffisants concernant les activités opérées sur l’île. Une équipe fut désignée pour s’y rendre. Devinez quoi ?
J’en faisais partie..
Âge : 24
Lieu de résidence : Brest
Ce que vous faites dans la vie : Ecole de commerce
Vos passions/Loisirs : Golf, Jeux vidéo, tir sportif.
Expériences de jeux vidéo : Arma III, DayZ, CS-GO et tout un tas d'autres jeux
Expériences RP : +800h
Nom et prénom de votre personnage : Blake Jonas
Age de votre personnage : 38 ans
Nationalité de votre personnage : Irlande du Nord
Langue parlé de votre personnage : Anglais, français
Taille de votre personnage : 1,87
Poids de votre personnage : 82 kg
Né à Coleraine, dans le Nord de L’Irlande, j’y ai vécu une enfance ordinaire, mon père travaillant dans une distillerie, ma mère s’occupant du foyer. J’avais un frère, William. Nous possédions un petit lopin de terre, que nous cultivions intensément afin d’en revendre la récolte sur les marchés voisins.
Mon avenir été tracé. Je semblais prédestiné à un métier manuel, tel que mon cousin qui était devenu ferrailleur, mon frère, qui vivait de sa passion : la pêche en haute mer. Peu d’adolescents de mon âge parvenaient à suivre des études et à quitter cette région. Les temps étaient durs pour les foyers vivant en périphérie des villes comme le nôtre, et le travail au sein de la famille était une valeur prédominante.
Je réussi toutefois à convaincre ma mère de poursuivre mes études à L' Université d'Ulster, bien décidé à prendre mon avenir par les cornes.
Ce fut une révélation pour moi. Les études m’intéressaient, non, mieux : elles me passionnaient. Trois ans après mon inscription à Ulster, j’obtenais une bourse pour l’Université de Londres. Je quittai, non sans mal, ma famille, en leur promettant de correspondre régulièrement.
Lors d’un cours de Sociologie en 2ème année, nous avions débattu concernant le massacre du 30 janvier 1972 en Irlande du nord, ma terre natale. Tuerie communément appelé le Bloody Sunday, durant laquelle des soldats de l’armée britannique avaient ouvert le feu sur des passants, qui manifestaient pacifiquement pour les droit civiques. Une honte pour la nation
Le sujet m’ayant marqué, je m’intéressai de plus en plus aux conflits nationaux, opposants différents groupes idéologiques, tous rongés par l’avidité du pouvoir.
Quelques années plus tard, je rentrai dans la section contre-ingérence du MI5. L’équipe dans laquelle j’opérai était donc chargée de récolter des informations sensibles concernant de possibles attaques provenant de l’intérieur du territoire du Royaume Unis.
J’adorais mon métier, je me sentais utile, et surtout loyal envers mon pays. Ce sentiment de patriotisme était pour moi la plus belle des récompenses. J’étais fier de ce que j’étais devenu. Et je le faisais savoir lors des nombreuses visites à ma famille.
Mon travail payait, et des années plus tard j’étais promu au sein du MI6, chargé du renseignement extérieur. De nouvelles perspectives s’offraient à moi.
L’équipe dans laquelle j’étais se penchait activement sur un cas particuliers, une sorte de no man’s land, une île au nom grecque, au nord-est de la Mer Egée. L’île d’Altis. De nombreux cas et témoignages rapportaient que des milices privées avaient pris le contrôle du territoire et y faisaient régner la peur. Le pays avait subi un exode important, et les rares civils restants faisaient profils bas.
Après plusieurs mois de travail, nous ne parvenions pas à obtenir de renseignements suffisants concernant les activités opérées sur l’île. Une équipe fut désignée pour s’y rendre. Devinez quoi ?
J’en faisais partie..