Journal du savant fou

Cerbere Brantov

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"Quand le chat dort, les souris danses"

Le soleil montre ses premiers rayons derrière les montagnes d'Altis. Il est tôt, les gens dorment tandis que j'étalais ces quelques mots derrière mon bureau, la vision de ces montagnes m'éblouissant. Quelle île étrange... Altis aux mille mystères paraît si démesuré avec cette nature digne des plus anciennes forêts de Rome.
Le temps passe et je me décide enfin à sortir pour acheter quelques bouteilles d'eau et du bacon pour mon petit déjeuner. C'est avec une immense motivation et une petite clope au bec que je me rentre cuir ce délicieux bacon sur une vieille poêle encore pleine de graisse. La population commençait déjà à passer devant ma maison, et je me demandais d'ores et déjà lequel de ces citoyens m'offrirait son cœur pour le diner de ce soir. Leur sourires faux et arrogant ne cesser de faire monter en moi cette colère et cette envie de les enfourcher. Je m'étais tellement perdu dans mes pensées, que je me brûlais la main sans m'en rendre compte. Sacré poêle !


Très souvent, le soir avant de trouver le sommeil, je me posais cette question. Qui étais-je vraiment ? Et je trouvais très rapidement la réponse. Je n'étais qu'un pion dans l'échiquier. D'une certaine manière, j'étais un gardien de la science. Ses victimes étaient justifiées, elles l'étaient au nom de la science ! Elles devraient être fières d'être mort au nom de celle-ci.
Mh... Il me fallait trouver un plan, une échappatoire.
 
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27/09/2020

Hm... Voilà que je regarde ce morceau de blanc de poulet, un peut de ketchup sur les lèvres et en face de moi se tient ce jeune beau garçon. Souriant et plutôt aimable, il est aussi courtois et très bien élevée.
Ce dîner aurait du être une rencontre entre deux bons hommes civilisés, mais je ne pouvais m'empêcher de regarder son cou, sa cœur palpiter derrière son beau costume.


Tandis que je l'observais, ignorant totalement les quelques phrases qu'il disait, je n'arrivais pas à détourner mes pensés de l'avenir que je lui réservais. Allais-je le laisser en vie ou non.. ? Mh... Je me posais encore la question tout en dégustant ce poulet infâme.

Trois heures viennent de s'écouler quand nous ressortons du restaurent, allant à l'arrière de celui-ci, je le voyais chercher ses clefs, le regard détourner. C'est à ce moment là que j'en profita pour lui assener un coup à l'arrière de la nuque, le plongeant dans un sommeil profond...
 
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Tandis que je m'équipais de ma tenue en plastique, les voix de cet homme enchaîne dérangeait mon travail. Il ne cessait de pleurer en me suppliant de le laisser repartir.. M'rah... Que de dérangement. Comment mes travaux pouvaient-ils avancés si il me perturbait ? Rala... tant pis pour lui, après tout, je l'avais prévenue.

Ca y est, je me lance. Je lui injectais enfin cette seringue, lui implantant un produit mélanger à un puissant somnifère. En cinq minutes, montre en main, il trouvait le sommeil. J'étais enfin tranquille, et mon expérience commençait enfin à se faire sur ce corps endormit.
 

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EXTRAIT DU JOURNAL


27/09/2020

Ca y est, nous rentrons dans Syrta par la force. Arme en main droite, courage et détermination en main gauche. Fière et unis, nous pennons part de l'établissement principal, y installant nos hommes et notre ravitaillement. C'est ici que nous nous établirons et que nous mènerons à bien nos objectifs et nos missions.

Je me suis permit par la même occasion de convié un citoyen dans ma demeure, prenant en note les informations importantes du lieux et sur les citoyens qui pourraient menés une éventuelle rébellion.

Nos objectifs voient de plus en plus le jour.
 

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JOURNAL DE BORD
28/09/2020



Je me réveille dans le plus grand des calmes, un esprit serein dans un corps sein. La vie suit son cours et mon groupe avance à mesure du temps. Mes expériences prennent de plus en plus d'importance et se concrétise peut à peut. Que pourrais-je réclamer de plus après tout hein' ? Ho oui, je sais. Les cobayes ! Ho oui ! Ca il m'en faut. Des cobayes par dizaine, enfermés dans une seule et même pièce, accrocher l'un à l'autre. J'ai trouver un nouveau projet. Je vais tenter de connecté plusieurs cerveaux humains les uns entre les autres. Je vais donc prendre le temps de les enterrer, les reliant l'un à l'autre par le biais d'un magnétiseur.

Deux options. Soit cela fonctionne et ils auront la vie sauves, soit l'opération n’aboutira pas, et dans ce cas il me faudra changer le câble et retrouver des cobayes. M'ah... Les citoyens de cette belle île sont si gentils d'offrir leur vie à la sciene.
 

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29/09/2020


Salut mon tendre journal. C'est avec un immense plaisir que je t'écrit aujourd'hui. Effectivement, je viens juste de terminer la dégustation d'un délicieux cerveau humain. Si mout et tendre en bouche, mon dieu... Et tout ça accompagner d'un petit vin qui accompagne si bien la cervelle. Je commence donc ma journée avec le sourire.
 

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30/09/2020


Salut à toi journal. Aujourd'hui, je me suis découvert un nouveau talent. Le talent de comédien. J'ai ce don de pouvoir changer de rôle en un simple claquement de doigt. Tout le monde me voit tel un responsable d'entreprise bon et juste quand je m'équipe de mon costume. Rha... Pauvres fous. Ils ne savent en rien de qui je suis vraiment et de ce que je m'apprête à faire.
 

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04/10/2020


"Tic tac, tic tac, tic tac"...

Je vous en prie, écouter donc ce son qui murmure à vos oreilles. Vous entendez ce son ? C'est le bruit de votre vie qui défile. Il m'arrive de prendre un malin plaisir à coller une minuterie à l'oreille de mes patients avant de les tuer. Le fait de savoir qu'ils entendent leur vie défiler me rempli de plaisir. Étrange comme plaisir n'est-ce pas ?

Au fond, est-il si différent des plaisirs capricieux de l'humain ? Je ne pense pas... Vous aimez le vin ? J'aime le sang. Vous aimez la cuisine de gastronomie ? Moi aussi, mais j'y prête une plus grande attention. Je prend le temps de savourer ma proie avant de faire disparaître les ossements. Je ne suis rien d'autre qu'un chasseur scientifique.
 

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"Résoudre un problème, c'est comme la chasse, un plaisir de sauvage, et nous avons cela dans le sang."

Ma vie, qu'est-ce que ma vie ? Je dirais que ma vie ne se résumé qu'à une chose. Sentir le sang chaud de mes victimes couler sur mon visage. J'arrive à y trouver une forme d'extase qui à la fois me terrifie et me ravit. Je ne me suis jamais senti aussi vivant, aussi émerveiller. J'arrive à sentir en moi le flux de la vie lorsque je parviens à arracher une larme à une de mes victimes. Je me sent en position de domination, et j'avoue que je trouve ça absolument délicieux.Je pense qu'en réalité Altis est bien chanceux d'avoir un être comme moi. Il a fallu qu'au milieu de cet univers médiocre, naïf et stupide se dresse un prototype. L'exemple même du parfait citoyen à l'intelligence démesurée, à l'adresse indicible et surtout aux désirs frénétiques. Je ne connais ni remords ni désire et j'espère ne jamais avoir à les connaitre. Les connaitre serait embrasser des désirs supplémentaires.

Mes victimes ont la chance de terminer leur vie entre les mains d'un parfait génie. Leur vie s'échappe petit à petit de leur corps, tandis que je gagne en satisfaction. Je veux que mon nom circule à travers les couloirs poussiéreux de l'histoire. Je suis L'Eventreur d'Altis. Il est si agréable de pouvoir songer à l'idée que l'on peut détenir la vie des pauvres citoyens entre ses mains. La cruauté est bien plus forte que la compassion : C'est elle qui régit l'univers dans sa globalité.
 
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Mes bagages sont fin prête. Le départ est pour Lundi, direction le sud de la France pour profiter du soleil et du vent d'hiver qui s'approche.
 

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CONFLIT - C.F.O
J'ai l'impression, en voyant leur revendication qu'ils soient soit con, soit con.
Ils investissent des millions dans de l'explosif pour faire péter un endroit dans lequel aucun de mes membres mettent les pieds. Cependant, cela est preuve de leur motivation à nous faire taire et je dois avouer que c'est un bon indéniable et auquel je leur accorde beaucoup de respect.


J'ai comme l'impression qu'ils voient une opportunité de gagné ! Ils ont raison, il faut de l'espoir dans tout, que ce soit dans la guerre ou dans la vie. J'adore le principe de les regarder en sachant qu'ils ne me voient pas... Le gong final approche, et nous allons mettre un terme rapide à cette pseudo guerre.
 

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"Je suis un soldat. Élu par les Forces Insurgés, je vaincrais et terrasserais mes ennemies aux côtés de mes frères. Je n'ai peur de rien. Le combat n'a plus de secret. Vivre ou mourir, aucune importance. Je suis né pour tuer, je suis né pour service une cause juste. Rien ne m'est impossible. La vie m'a appris des tas de truc, comme ne jamais tirer sur un homme de gros calibre avec une arme de petit calibre. Tout ce qui est bon dans la vie mérite qu'on en abuse, il n y a que les lâches qui se modère. Je bouffe, je baise et je repars. Et si ça plait pas à quelqu'un qu'il vienne me le dire en face, quand il s'agit de coller des pains, je suis aussi un AS. A la votre mes frères !"​

Par la passé, j'étais ce gentil psychologue qui tuer deux à trois personnes par mois histoire de me restaurer. Aujourd'hui, je tue par plaisir. Par simple envie de mettre fin à la vie d'une quelconque personne. Cependant, de plus gros objectifs se présentent aujourd'hui à moi. Un des des groupes de l'île a tenter de me nuire.. Grave erreur.
Nos troupes se préparent dans l'ombre, s'apprêtant à mener une attaque d'envergure à laquelle personne ne s'attend. Le temps passe et votre fin est proche. Dites coucou au bras armée de la destruction.
 

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Journal Cerbère - Extrait du 04/11/2020

Il m'arrive de prendre mon journal, de monter sur le haut d'une tour de Syrta et de laisser mon regard balayer l'horizon.
Je me demande régulièrement ce que l'avenir nous réserve et je n'y vois que des mort, du sang, du décespoir..
Heureusement que nos projets voient de plus en plus de jour.
 

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Compte rendu - 07/11/2020

C'est avec un immense dévouement et une totale confiance en mes troupes que j'étais ces quelques lignes sur mon bout de papier.
Depuis quelques jours, je nous considère en guerre...
Nous avons mener différentes attaques contre le communisme, et, nous ne sommes pas prêt de nous arrêter.
Nos attaques seront continuelles et notre présence permanente.

Qui plus est, nous avons trouver un nouveau loisir.. Les Corleone ! Pseudo Mafia, nous allons les briser avant de les faire disparaître à jamais.