M
Membre supprimé 42134
Vu la Constitution,
Vu l’article 32 de la dite constitution,
Vu l’instabilité gouvernementale actuelle,
Vu le Traité de Kavala,
Vu la législation spécifique du sud est,
Vu la déclaration de l’ancien président en tant qu'ennemis d’Etat,
Vu la saisine du Gouverneur du Sud-Est,
Vu la saisine du gouverneur.
Le Tribunal constate un problème gouvernemental au sein du pouvoir actuel.
En effet, celui-ci a été nommé par le Conseil constitutionnel sans être contesté par le peuple.
Toutefois hormis la démission du président, il apparait qu’aucun acte ne fait ressortir que le gouverneur ait donné sa démission.
Que son absence sur l’île, ou sa carence de réponses aux messages n’ont aucun impacts sur sa fonction.
Qu’il convient d’établir un procès sur le fond afin de traiter du présent litige.
Toutefois et au regard de l’urgence de la situation, le Tribunal décide de mesures suspensives.
I - Sur la déclaration d'ennemis d’Etat de l’ancien président.
Au regard de la confusion de la situation, le Tribunal décide que la qualification de Monsieur Emilio Rayo n’est pas justifié au regard des éléments en sa possession. Par ailleurs, le gouvernement ne semble pas avoir été consulté dans sa totalité.
De ce fait, il convient de suspendre cette décision.
II - Sur l’abolition de la spécificité de la législation du Sud-Est.
Le président a aboli cette législation en vertu d’une loi, ce qui est tout à fait possible.
Cependant, il semble que celui-ci ne prenne pas en compte le Traité de kavala.
Pour rappel, en vertu de la pyramide de Kelsen, un traité est en dessous de la constitution mais au dessus des lois.
De ce fait, il convient également de suspendre la loi qui aboli la législation du sud-est.
Le Tribunal ordonne la remise en l’état de la situation dans l’attente du procès sur le fond.
Fait à Kavala,
Le 6 octobre 2020.
Juge Supérieur,
Jack Molléti.
Vu l’article 32 de la dite constitution,
Vu l’instabilité gouvernementale actuelle,
Vu le Traité de Kavala,
Vu la législation spécifique du sud est,
Vu la déclaration de l’ancien président en tant qu'ennemis d’Etat,
Vu la saisine du Gouverneur du Sud-Est,
Vu la saisine du gouverneur.
Le Tribunal constate un problème gouvernemental au sein du pouvoir actuel.
En effet, celui-ci a été nommé par le Conseil constitutionnel sans être contesté par le peuple.
Toutefois hormis la démission du président, il apparait qu’aucun acte ne fait ressortir que le gouverneur ait donné sa démission.
Que son absence sur l’île, ou sa carence de réponses aux messages n’ont aucun impacts sur sa fonction.
Qu’il convient d’établir un procès sur le fond afin de traiter du présent litige.
Toutefois et au regard de l’urgence de la situation, le Tribunal décide de mesures suspensives.
I - Sur la déclaration d'ennemis d’Etat de l’ancien président.
Au regard de la confusion de la situation, le Tribunal décide que la qualification de Monsieur Emilio Rayo n’est pas justifié au regard des éléments en sa possession. Par ailleurs, le gouvernement ne semble pas avoir été consulté dans sa totalité.
De ce fait, il convient de suspendre cette décision.
II - Sur l’abolition de la spécificité de la législation du Sud-Est.
Le président a aboli cette législation en vertu d’une loi, ce qui est tout à fait possible.
Cependant, il semble que celui-ci ne prenne pas en compte le Traité de kavala.
Pour rappel, en vertu de la pyramide de Kelsen, un traité est en dessous de la constitution mais au dessus des lois.
De ce fait, il convient également de suspendre la loi qui aboli la législation du sud-est.
Le Tribunal ordonne la remise en l’état de la situation dans l’attente du procès sur le fond.
Fait à Kavala,
Le 6 octobre 2020.
Juge Supérieur,
Jack Molléti.
Désolé, je suis au bureau j’ai dû rédiger ça vite ahaha ! (Je n’arrive pas à taguer les gens donc thomas, boubakar).
Dernière modification par un modérateur: