Votre Pseudo : Ugo mon prénom IRL.
Votre Âge : 15 ans
Lieu de résidence : Belgique
Vos loisirs : Cinéma, Airsoft , musique, sorties.
Présentation de mon personnage
Je m'appelle Ugo Carrera. Je suis né en 1982 dans la capitale belge, Charleroi. Je ne vais pas vous mentir, je n'ai pas vécu une enfance difficile, pas de fins de mois difficiles, pas de coups de ceintures étant môme, non ... rien de tout ça. J'ai au contraire vécu une enfance et une adolescence facile, trop facile même.
Mon père, Patrick Carrera r, à fait fortune dans l'industrie chimique en créant "Les Usines Carrera ", inconnue du grand public cette entreprise s'occupe de traiter chimiquement des ressources pour ses clients, une bonne partie de l'essence de vos voitures est sortie de nos usines. Notre principal business était de faire un pont entre l’Arabie saoudite et l'Europe pour amener leur pétrole et le transformer en gazole. Seulement, quand les qataris ont remarqués la marge énorme que nous nous faisions sous leur nez, ils ont exigés une renégociation du prix d'achat de l'or noir. Voyant que nous n'accepterions pas de gagner un centime de moins, ils sont partit voir Total, la faillite à vite pointée le bout de son nez. Mon père en est mort, l'échec et lui ça a jamais fait bon ménage ...
J'ai alors revendu toutes mes parts de l'entreprise, les milliers d'employés renvoyés m'ont fait quitter la Belgique pour plus de tranquillité.
J'ai rejoint l'île d'Altis. J'avais exactement 1.124.530 dollars américains sur mon compte en banque. Surement pas assez pour satisfaire mes nobles ambitions. J'ai donc décidé de monter ma propre entreprise de fret. J'ai dû abandonner les bureaux de marbres et conduire mes propres camions, dont le nombre s'est rapidement multiplié. L'idée était simple, on achetait tout ce que cette île pouvait fabriquer à de pauvres ouvriers, on payait ça une misère pour le revendre au monde entier. La marge était bonne, nous nous sommes rapidement fait un nom et "Les réseaux Carrera " étaient en passe de devenir l'entreprise la plus influente de l'île.
Ma vie a changé le jour où j'ai rencontré Fabian Campana au congrès international de Sofia. Je venais faire une conférence sur entrepreneuriat mais cet homme m'a proposé un rendez-vous, et sachant qu'il était l'un des hommes les plus riches du contiennent, j'ai accepté. Campana s'est avéré être le plus grand mafieux que je n'ai jamais connu, il avait besoin de camions pour transporter des armes à travers Altis et ses alentours. J'ai accepté. On était alors en 2005 et mes camions transportaient du simple pistolet au lance missile capable d'abattre un avion à deux kilomètres de haut. Notre marge était au moins cinq fois plus grande que n'importe quelle autre entreprise mais trop n'était jamais assez. Les progrès de la science noire (comprenez la science à but criminel) ont permis de synthétiser une méthanphétamine de grande qualité qui ravageait l’Amérique du nord. L'engouement était tel que des bateaux clandestins venaient livrer de la meth aux dealers d'Altis qui la revendaient à prix d'or aux toxicos de Kavala.
Il y avait un marché à prendre. Et celui-là était pour moi. Après de longues études de marchés, j'en suis venu au fait que Altis était l'endroit idéal pour synthétiser la méthamphétamine qui se développe en Amérique pour que nous puissions couvrir le marché européen. L'île était immense, et j'avais un nom assez influent pour faire sortir de terre des laboratoires sans que personne ne se pose de questions, pour ce qui est des flics, j'avais assez d'argent pour les acheter, tous.
Ainsi, en parallèle avec mes activités de fret illégal, j'ai fait venir en première classe Allan Rivers, retenez bien son nom il sera important dans la suite de l'histoire. Ce gars était le meilleur scientifique de sa génération et voulait couvrir le marché de la meth grâce à son expertise de la chimie, mes fonds et ma connaissance du business ont complété ses connaissance. Le 5 mars 2009, je dépose le nom "Les Usines Carrera" à la mairie pour ouvrir une nouvelle branche de mon entreprise. Notre façade légale était simple, nous transformions les rares ressources en pétrole que l'île fournissait pour les transformer en gazole. J'ai fait faire construire une usine immense au sud de Sofia qui, en réalité, était le lieu ou l'on synthétisait la méthamphétamine la plus pure du continent. Mon entreprise de fret se chargeait de l'exporter en occident grace à des avions qui partaient d'une piste que j'avais aménagé au nord de Sofia. Avec le temps, nous avons ouverts quatre nouvelles usines sur l'île et nous avons ouverts nos activités aux traitements le cannabis et les feuilles de coca qui fleurissaient dans les montagnes de l'île. Les Narcos nous amenaient leur récoltes via nos camions et nous nous chargions de la revente. Nous avions le monopole, et nos volumes immenses nous permettaient d'être les moins chers tout en offrant le produit le plus pur d'Europe.
L'argent coulait à flot, les toxicos étaient prêt à vendre leur mère pour un gramme de nos produits. Je gagnais tellement d'argent que je ne savais plus quoi en faire. En un an, j'ai gagné 27 millions de dollars. J'avais tout, une famille que je logeais dans la "Villa Carrera r", un ancien hôtel rénové avec piscine, jacuzzi. Yatch, avions, villas, tout ce qui pouvait être acheté était à moi. Pour ce qui est de la police, j'achetais la majorité des agents d'Altis. Et quand l'un d'entre eux me menaçait de me dénoncer si il n'avait pas une part plus importante, je tuais sa famille devant lui avant de le jeter d'un de mes avions de fret qui survolait la méditerranée, tout cela pour montrer l'exemple et galvaniser les flics de l'île. Les politiques n'étaient pas dupes et savaient que je trempais dans des affaires louches, mais je me chargeais de remercier leur clémence en leur offrant villas, putes, et voitures. Pour le reste de la population, j'achetais leur amour et leur fermait les yeux en rénovant les routes, en donnant des centaines de milliers de dollars aux associations de l'île, bref ... la couverture parfaite.
Yohan Cruger était le nom du chef international de la répression de l'usage des stupéfiants de l'Allemagne. Il a commencé à s'intéresser à notre trafic quand ses hommes ont remarqués notre balai aérien dans toute l'Europe. Rapidement, Cruger est remonté jusqu'a nous, jusqu'à moi. Les Allemands ont obtenus auprès de l'ONU le droit de rester sur Altis jusqu'à que leurs soupçons soient démentis, ou avérés. Deux mois après leur arrivée, les fédéraux ont trouvés cinq millions de dollars enterrés en dessus d'un champ de blé à Pyrgos, on avait tellement d'argent qu'on était obligé de l'enterrer et sous la pression, le paysans à qui appartenaient les terres à balancé. Le couteau sous la gorge, j'ai suspendu notre trafic. Petit à petit, les Allemands se sont posés des questions, j'ai été convoqués au commissariat de Kavala pour un interrogatoire mais ils n'avaient aucune preuve.
Seulement, la pression des dealers d'Europe était trop grande, plus aucun gramme de drogue n'atteignait leurs côtes. J'ai donc relancé doucement le trafic, cette fois les camions partaient de nuit et allaient remplir des avions au nord de l'île. Seulement, un avion espion ne nous lâchait pas d'une semelle. On s'est fait grillés comme des débutants ... Une heure après le départ du convois, les fédéraux les ont arrêtés et ont sont repartis avec deux choses, 9 tonnes de drogues diverses, mais surtout, une perquisitions à mon nom.
Le 5 juillet 2016, 50 fédéraux Allemands, armés jusqu'aux dents, ont défoncés la porte de ma maison. Vous auriez vu le sourire sur leur visage ... Ils m'ont arrêtés et ont mis la main sur tout mon magot. J'ai évité l'extraditions et ait rapidement été jugé au Tribunal de Kavala, le verdict est vite tombé ... 58 ans de prisons ferme avec une caution s'élevant à 20 millions de dollars. Putain ...
J'ai été accueilli en prison tel un héros, la plupart des taulards étaient des toxicos qui se défonçaient avec mon produit, c'était comme-ci ils rencontraient le chanteur tendance de quand ils étaient ados. Mais mon séjour à été de courte durée. Le 7 août 2016, le maire de Kavala vient dans ma cellule m'annoncer que quelqu'un avait payé la caution. Allan Rivers, le chimiste avec qui j'ai développé mon trafic avait réussi à s'en sortir. En effet son nom n'apparaissait nul part, alors qu'il brassait presque autant que moi.
Votre Âge : 15 ans
Lieu de résidence : Belgique
Vos loisirs : Cinéma, Airsoft , musique, sorties.
Présentation de mon personnage
Je m'appelle Ugo Carrera. Je suis né en 1982 dans la capitale belge, Charleroi. Je ne vais pas vous mentir, je n'ai pas vécu une enfance difficile, pas de fins de mois difficiles, pas de coups de ceintures étant môme, non ... rien de tout ça. J'ai au contraire vécu une enfance et une adolescence facile, trop facile même.
Mon père, Patrick Carrera r, à fait fortune dans l'industrie chimique en créant "Les Usines Carrera ", inconnue du grand public cette entreprise s'occupe de traiter chimiquement des ressources pour ses clients, une bonne partie de l'essence de vos voitures est sortie de nos usines. Notre principal business était de faire un pont entre l’Arabie saoudite et l'Europe pour amener leur pétrole et le transformer en gazole. Seulement, quand les qataris ont remarqués la marge énorme que nous nous faisions sous leur nez, ils ont exigés une renégociation du prix d'achat de l'or noir. Voyant que nous n'accepterions pas de gagner un centime de moins, ils sont partit voir Total, la faillite à vite pointée le bout de son nez. Mon père en est mort, l'échec et lui ça a jamais fait bon ménage ...
J'ai alors revendu toutes mes parts de l'entreprise, les milliers d'employés renvoyés m'ont fait quitter la Belgique pour plus de tranquillité.
J'ai rejoint l'île d'Altis. J'avais exactement 1.124.530 dollars américains sur mon compte en banque. Surement pas assez pour satisfaire mes nobles ambitions. J'ai donc décidé de monter ma propre entreprise de fret. J'ai dû abandonner les bureaux de marbres et conduire mes propres camions, dont le nombre s'est rapidement multiplié. L'idée était simple, on achetait tout ce que cette île pouvait fabriquer à de pauvres ouvriers, on payait ça une misère pour le revendre au monde entier. La marge était bonne, nous nous sommes rapidement fait un nom et "Les réseaux Carrera " étaient en passe de devenir l'entreprise la plus influente de l'île.
Ma vie a changé le jour où j'ai rencontré Fabian Campana au congrès international de Sofia. Je venais faire une conférence sur entrepreneuriat mais cet homme m'a proposé un rendez-vous, et sachant qu'il était l'un des hommes les plus riches du contiennent, j'ai accepté. Campana s'est avéré être le plus grand mafieux que je n'ai jamais connu, il avait besoin de camions pour transporter des armes à travers Altis et ses alentours. J'ai accepté. On était alors en 2005 et mes camions transportaient du simple pistolet au lance missile capable d'abattre un avion à deux kilomètres de haut. Notre marge était au moins cinq fois plus grande que n'importe quelle autre entreprise mais trop n'était jamais assez. Les progrès de la science noire (comprenez la science à but criminel) ont permis de synthétiser une méthanphétamine de grande qualité qui ravageait l’Amérique du nord. L'engouement était tel que des bateaux clandestins venaient livrer de la meth aux dealers d'Altis qui la revendaient à prix d'or aux toxicos de Kavala.
Il y avait un marché à prendre. Et celui-là était pour moi. Après de longues études de marchés, j'en suis venu au fait que Altis était l'endroit idéal pour synthétiser la méthamphétamine qui se développe en Amérique pour que nous puissions couvrir le marché européen. L'île était immense, et j'avais un nom assez influent pour faire sortir de terre des laboratoires sans que personne ne se pose de questions, pour ce qui est des flics, j'avais assez d'argent pour les acheter, tous.
Ainsi, en parallèle avec mes activités de fret illégal, j'ai fait venir en première classe Allan Rivers, retenez bien son nom il sera important dans la suite de l'histoire. Ce gars était le meilleur scientifique de sa génération et voulait couvrir le marché de la meth grâce à son expertise de la chimie, mes fonds et ma connaissance du business ont complété ses connaissance. Le 5 mars 2009, je dépose le nom "Les Usines Carrera" à la mairie pour ouvrir une nouvelle branche de mon entreprise. Notre façade légale était simple, nous transformions les rares ressources en pétrole que l'île fournissait pour les transformer en gazole. J'ai fait faire construire une usine immense au sud de Sofia qui, en réalité, était le lieu ou l'on synthétisait la méthamphétamine la plus pure du continent. Mon entreprise de fret se chargeait de l'exporter en occident grace à des avions qui partaient d'une piste que j'avais aménagé au nord de Sofia. Avec le temps, nous avons ouverts quatre nouvelles usines sur l'île et nous avons ouverts nos activités aux traitements le cannabis et les feuilles de coca qui fleurissaient dans les montagnes de l'île. Les Narcos nous amenaient leur récoltes via nos camions et nous nous chargions de la revente. Nous avions le monopole, et nos volumes immenses nous permettaient d'être les moins chers tout en offrant le produit le plus pur d'Europe.
L'argent coulait à flot, les toxicos étaient prêt à vendre leur mère pour un gramme de nos produits. Je gagnais tellement d'argent que je ne savais plus quoi en faire. En un an, j'ai gagné 27 millions de dollars. J'avais tout, une famille que je logeais dans la "Villa Carrera r", un ancien hôtel rénové avec piscine, jacuzzi. Yatch, avions, villas, tout ce qui pouvait être acheté était à moi. Pour ce qui est de la police, j'achetais la majorité des agents d'Altis. Et quand l'un d'entre eux me menaçait de me dénoncer si il n'avait pas une part plus importante, je tuais sa famille devant lui avant de le jeter d'un de mes avions de fret qui survolait la méditerranée, tout cela pour montrer l'exemple et galvaniser les flics de l'île. Les politiques n'étaient pas dupes et savaient que je trempais dans des affaires louches, mais je me chargeais de remercier leur clémence en leur offrant villas, putes, et voitures. Pour le reste de la population, j'achetais leur amour et leur fermait les yeux en rénovant les routes, en donnant des centaines de milliers de dollars aux associations de l'île, bref ... la couverture parfaite.
Yohan Cruger était le nom du chef international de la répression de l'usage des stupéfiants de l'Allemagne. Il a commencé à s'intéresser à notre trafic quand ses hommes ont remarqués notre balai aérien dans toute l'Europe. Rapidement, Cruger est remonté jusqu'a nous, jusqu'à moi. Les Allemands ont obtenus auprès de l'ONU le droit de rester sur Altis jusqu'à que leurs soupçons soient démentis, ou avérés. Deux mois après leur arrivée, les fédéraux ont trouvés cinq millions de dollars enterrés en dessus d'un champ de blé à Pyrgos, on avait tellement d'argent qu'on était obligé de l'enterrer et sous la pression, le paysans à qui appartenaient les terres à balancé. Le couteau sous la gorge, j'ai suspendu notre trafic. Petit à petit, les Allemands se sont posés des questions, j'ai été convoqués au commissariat de Kavala pour un interrogatoire mais ils n'avaient aucune preuve.
Seulement, la pression des dealers d'Europe était trop grande, plus aucun gramme de drogue n'atteignait leurs côtes. J'ai donc relancé doucement le trafic, cette fois les camions partaient de nuit et allaient remplir des avions au nord de l'île. Seulement, un avion espion ne nous lâchait pas d'une semelle. On s'est fait grillés comme des débutants ... Une heure après le départ du convois, les fédéraux les ont arrêtés et ont sont repartis avec deux choses, 9 tonnes de drogues diverses, mais surtout, une perquisitions à mon nom.
Le 5 juillet 2016, 50 fédéraux Allemands, armés jusqu'aux dents, ont défoncés la porte de ma maison. Vous auriez vu le sourire sur leur visage ... Ils m'ont arrêtés et ont mis la main sur tout mon magot. J'ai évité l'extraditions et ait rapidement été jugé au Tribunal de Kavala, le verdict est vite tombé ... 58 ans de prisons ferme avec une caution s'élevant à 20 millions de dollars. Putain ...
J'ai été accueilli en prison tel un héros, la plupart des taulards étaient des toxicos qui se défonçaient avec mon produit, c'était comme-ci ils rencontraient le chanteur tendance de quand ils étaient ados. Mais mon séjour à été de courte durée. Le 7 août 2016, le maire de Kavala vient dans ma cellule m'annoncer que quelqu'un avait payé la caution. Allan Rivers, le chimiste avec qui j'ai développé mon trafic avait réussi à s'en sortir. En effet son nom n'apparaissait nul part, alors qu'il brassait presque autant que moi.