présentation adrien fernandez

adrien fernandez

Citoyen d'Altis
  Membre
28 Sept. 2016
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Votre Pseudo :adrien fernandez
Votre Âge :24
Lieu de résidence :var
Vos loisirs :le cross et arma
Expériences RP :sfp
Comment avez-vous découvert le serveur ? :grace a un amie

bonjour monsieur le président,
Je suis originaire du village de sfp altis , à proximité de la ville de neo qui se trouve au sud-ouest de kavalha Mon village comprenait environ 100 maisons. J’y suis né le 22 octobre 1992 Mon père, bernard fernandez., était boulanger dans le village et propriétaire de terres qu’il exploitait à quelques kilomètres de làclaudia la roche était femme au foyer. Nous menions une vie paisible avec mon jeune frère mateo et ma jeune sœur lara Sur le plan religieux, nous sommes athée.

Pendant la guerre du 29 avril 2002 mon père a perdu la vie en 2003 dans un bombardement à gravia, qui est le marché de notre village. Ce bombardement est intervenu à l’occasion de combats entre les dalton et les blak momba; opposés à eux.

Dès la mort de notre père et pour venger sa mort, mon frère mateo , qui avait alors 19 ans, a rejoint la milice armée les outloos , sous le commandement de jhon warrers , jusqu’à ce qu’il disparaisse en 2an plus tard . lors d’un combat entre outloos et sous of anarchy , Nous n’avons jamais vu son corps. Nous supposons qu’il est mort. En apprenant sa disparition, ma mère est tombée gravement malade.
mon, village a subie des bombardement

Peu de temps après l’abandon du village par ses habitants et par les outloos, les pietri sont arrivés. J’étais le seul homme adulte qui était resté. Ils ont fouillé notre maison, où ils ont découvert la photo de mon frère mateo en tenue de outloos. Ils m’ont alors arrêté et emprisonné à kavalha , à une dizaine de kilomètres de chez moi Ce village leur servait de base militaire. Ils voulaient que je leur dise où se trouvaitles outloos parce qu’ils avaient vu qu’il appartenait au outloos J’étais enfermé dans une pièce sans fenêtre avec 8 autres prisonniers que je ne connaissais pas, dont 2 avaient été arrêtés avant moi. Nous mangions un morceau de pain par jour, qu’ils nous apportaient le matin.

Pendant mon premier mois de détention, les pietri m’ont frappé tous les jours avec un fouet ou des câbles métalliques. Les autres subissaient le même sort. Puis ils ont arrêté de me torturer pendant les deux derniers mois de ma détention. Au total, ils m’ont gardé environ trois mois.

A mon retour au village, vers le mois de juillet, j’ai découvert notre maison entièrement dévastée : les portes et les fenêtres avaient été défoncées ; tout était bouleversé à l’intérieur. Et il n’y avait plus personne dedans. J’ai interrogé les voisins. Ils m’ont appris que, quelques semaines plus tôt, les sons étaient venus et qu’ils avaient emmené avec eux ma mère et mon épouse. Je n’ai jamais pu en savoir davantage (toujours par méconnaissance du français, je n’ai pas noté qu’il avait été écrit à l’OFPRA que mon épouse était morte en septembre, ce qui est inexact).

Pendant les cinq années suivantes, j’ai mené une existence d’agriculteur solitaire. Je vivais seul dans la tristesse.

Quand, en décembre . les pietri se sont dispersés et que le gouvernement sfp s’est installé, Nous avons cru que la paix allait définitivement revenir. J’ai alors voulu participer à la chasse contre les teroriste et défendre le village contre leur retour. Connaissant bien les environs parce que je cultivais des terres à quelques kilomètres, j’ai été chargé de surveiller la zone et de donner des renseignements La nuit, je montais la garde et participais à des brigades armées qui montaient la garde.

A la fin du printemps les pietri a ordonné à ses generaux de désarmer la population. Moi, j’ai rendu une de mes deux kalachnikof. Mais j’ai caché l’autre parce que je voulais pouvoir me défendre si la guerre recommençait. Il y avait une montée de la tension entre le sfp et le .pietri, dont j’étais membre.

Avec cinq voisins - , nous avons résisté à plusieurs pressions pour rendre nos dernières armes. S

En août, 15 ou 20 moudjahidin nous ont attaqués en fin d’après-midi. Il faisait déjà nuit. Ils ont tiré sur nous, et nous avons répliqué pendant vingt minutes environ. Trois de mes voisins ont été tués. Nous, nous avons tué le commandant en second et cousin de .maxou et fait plusieurs blessés. Mais après, il ne nous restait plus qu’à nous enfuir. Si nous étions restés, il était sûr qu’ils nous auraient exécutés.

Je suis resté caché pendant une dizaine de jours chez mon oncle , dans son village à sept ou huit kilomètres. Il a trouvé un passeur et m’a donné 6 000 dollars pour quitter le pays.

Etant donné le pouvoir que pietri exerce dans ma région au nom du gouvernement de M.alysia, je suis en danger de mort : « La peur est dans le cœur de pratiquement chaque Cette situation générale dans mon pays et surtout les dangers personnels auxquels je suis exposé expliquent ma requête de l’asile, et ma demande à votre Commission d’annuler le refus de l’OFPRA.


C’est pourquoi je tiens tout particulièrement à être entendu par la Commission de recours des réfugiés.

signature
af