Biographie :
Qu’est-ce que je peux bien vous raconter sur moi ? Les gens savent de moi ce que j’ai fait… Ils connaissent mon histoire à travers de fait d’hivers, des journaux... A vrais dire je n’ai jamais voulu être connu pour ce que j’ai fait, car ce que j’ai fait ne comprenait pas uniquement mes choix, mais ceux des autres, ceux des révolutionnaires, ceux de ma famille, ceux qui soutiennent ma cause et ceux qui pourraient donner leur vie pour ce que nous avons construit. Si vous lisez cette lettre c’est que j’ai réussi à m’enfuir de cette foutue prison. Où suis-je ? Personne ne le sait...
Qu’est-ce que je peux vous dire sur moi... ? Je suis né à Brooklyn, ma mère ? Je ne me rappelle plus de ma mère, elle est morte peu après ma naissance… Je m’appelle Alphonse Gabriel Capone. Quand j’étais petit, comme tous les gosses de Brooklyn, je me bagarrais beaucoup, quand on veut être respecté il faut prouver qu’on est le plus fort-disait mon père. Je crois que tout a commencé à partir de là. Je me rappelle de ma première bagarre. Bien-sûr j’ai gagné, pour la première foi je me sentais libre car je savais qu’après cette victoire, les gens me respecteront à mon tour. J’aime ce sentiment de puissance, je venais tout juste de le découvrir, et je savais que ce que j’avais fait ce jour, était dans moi je ne pouvais pas le changer ; j’étais fait pour ça.
J’ai grandi vite mais je n’ai pas changé de voie, je ne voulais pas être un ouvrier comme mon père et mourir pauvre et triste comme ma mère. Le coup qui a changé ma vie s’est passé à mon 19ème anniversaire. Tout devait bien se passer, normalement… « Un braquage qui a mal tourné, les malfaiteurs ont fait deux victimes sur leur passage ». A 25ans l’on me surnomma de plusieurs noms : Scarface (dans les médias), Al Brown, Alphonse Brown, Snorky ou The Big Fellow. L’on me surnomma de cette façon car j’avais créé à mon 25ème anniversaire le plus grand trafic de drogue de Brooklyn (l’alcool). C’est pendant ces années que j’ai donné la réputation de ville sans foi ni loi a la ville de Brooklyn.
A cette époque j’avais une famille, aussi importante pour moi que ma famille génétique, on les appelait The outfit (l’équipe). Notre domaine ? L’alcool comme je vous l’ai dit, les jeux, et la prostitution. A l’Age de 23 ans je deviens le bras droit de Torrio. Torrio ? Torrio était le mec qui m’avait débusqué dans un monde légal pour faire de moi un ennemi public numéro1. A cet homme je dois ma réussite mais aussi une vie. En 1985 Torrio se prend une balle pour me protéger d’une fusillade que je regrette encore d’avoir provoquée... il prit sa retraite peu de temps après et me légua son empire. Après cela tout est allé très vite, mon nom circulait dans tous les journaux d’Amérique. Brooklyn était devenu ma ville et je n’aimais pas que d’autres petits concurrents baisent mon business sous mon nez, quand je dis ça je fais référence au massacre de la Saint Valentin, moi je n’aime pas qu’on me fasse chier sur mon territoire et dans mes affaires.
Les forces de police m’attrapèrent le 5 juin 2010 pour meurtre, évasion fiscale, fraudes fiscales, blanchissement d’argent, trafic de drogue, trafique d’alcool pendant la prohibition, prostitution etc… ils me mirent dans la prison la mieux gardée d’Amérique, et pourtant si cette lettre est arrivée dans vos mains, sous vos yeux c’est que j’ai réussi à m’évader. Où suis-je? Personne ne peut le savoir, des légendes disent que je suis parti sur une île pour reconstruire un trafic afin de revenir dans ma ville en conquérant, d’autres disent que je suis parti en Europe pour retrouver une vie normale, d’autres encore…
Et vous à laquelle croyez-vous ?
Qu’est-ce que je peux vous dire sur moi... ? Je suis né à Brooklyn, ma mère ? Je ne me rappelle plus de ma mère, elle est morte peu après ma naissance… Je m’appelle Alphonse Gabriel Capone. Quand j’étais petit, comme tous les gosses de Brooklyn, je me bagarrais beaucoup, quand on veut être respecté il faut prouver qu’on est le plus fort-disait mon père. Je crois que tout a commencé à partir de là. Je me rappelle de ma première bagarre. Bien-sûr j’ai gagné, pour la première foi je me sentais libre car je savais qu’après cette victoire, les gens me respecteront à mon tour. J’aime ce sentiment de puissance, je venais tout juste de le découvrir, et je savais que ce que j’avais fait ce jour, était dans moi je ne pouvais pas le changer ; j’étais fait pour ça.
J’ai grandi vite mais je n’ai pas changé de voie, je ne voulais pas être un ouvrier comme mon père et mourir pauvre et triste comme ma mère. Le coup qui a changé ma vie s’est passé à mon 19ème anniversaire. Tout devait bien se passer, normalement… « Un braquage qui a mal tourné, les malfaiteurs ont fait deux victimes sur leur passage ». A 25ans l’on me surnomma de plusieurs noms : Scarface (dans les médias), Al Brown, Alphonse Brown, Snorky ou The Big Fellow. L’on me surnomma de cette façon car j’avais créé à mon 25ème anniversaire le plus grand trafic de drogue de Brooklyn (l’alcool). C’est pendant ces années que j’ai donné la réputation de ville sans foi ni loi a la ville de Brooklyn.
A cette époque j’avais une famille, aussi importante pour moi que ma famille génétique, on les appelait The outfit (l’équipe). Notre domaine ? L’alcool comme je vous l’ai dit, les jeux, et la prostitution. A l’Age de 23 ans je deviens le bras droit de Torrio. Torrio ? Torrio était le mec qui m’avait débusqué dans un monde légal pour faire de moi un ennemi public numéro1. A cet homme je dois ma réussite mais aussi une vie. En 1985 Torrio se prend une balle pour me protéger d’une fusillade que je regrette encore d’avoir provoquée... il prit sa retraite peu de temps après et me légua son empire. Après cela tout est allé très vite, mon nom circulait dans tous les journaux d’Amérique. Brooklyn était devenu ma ville et je n’aimais pas que d’autres petits concurrents baisent mon business sous mon nez, quand je dis ça je fais référence au massacre de la Saint Valentin, moi je n’aime pas qu’on me fasse chier sur mon territoire et dans mes affaires.
Les forces de police m’attrapèrent le 5 juin 2010 pour meurtre, évasion fiscale, fraudes fiscales, blanchissement d’argent, trafic de drogue, trafique d’alcool pendant la prohibition, prostitution etc… ils me mirent dans la prison la mieux gardée d’Amérique, et pourtant si cette lettre est arrivée dans vos mains, sous vos yeux c’est que j’ai réussi à m’évader. Où suis-je? Personne ne peut le savoir, des légendes disent que je suis parti sur une île pour reconstruire un trafic afin de revenir dans ma ville en conquérant, d’autres disent que je suis parti en Europe pour retrouver une vie normale, d’autres encore…
Et vous à laquelle croyez-vous ?
