- Présentation IRL
-Lieu de résidence ; Paris
-Comment avez vous connus le serveur ; En cherchant sur le net
-Vos loisirs, passions ; Mes loisirs et passions sont les jeux videos je joue depuis plus de 20ans
- Présentation RP
-Age de votre personnage ; 30 ans
-Nationalité de votre personnage ; Français
- Histoire RP
J'ai 30 ans et ma vie n'a été que combat durant les dernières guerre. J'ai vu tellement d'horreur que je ne dors plus beaucoup la nuit... J'ai décidé de partir loin de mon ancienne vie et j'ai quitté la France pour cette île espérant y trouver le calme et reprendre ma vie à zéro.
Jour 1 : J'ai débarqué ce matin, après avoir exploré sommairement la "Capitale" je suis parti pour mon premier petit boulot, "mineur". C'est pas la joie, le travaille est dur et les gains médiocre mais bon il faut bien commencer quelque par. Je me suis fait mon premier collègue avec qui je suis resté un moment et avec qui j'ai sympathisé. Il est un peu simplet mais il a l'air bosseur et puis c'est mieux que d'être seul. C'est un bon début j’espère que tout cela n'ira qu'en s'améliorant.
Jour 2 : Et moi qui croyais débarquer sur une île paisible, raté... J'ai été pris en otage aujourd'hui à la mine de sel... Un commando armé nous a enlevé moi et trois autres types qui ramasser du sel pour se faire un peu d'argent. Bon dans les faits ils nous ont enlevé mais voyant que nous ne leurs rapporterions rien ils nous ont relâché. Bilan de l'opération du temps perdu et une balade en hélicoptère, EN HÉLICOPTÈRE! Le commando rebelle était très bien équipé, des fusils d'assauts et des hélicoptères... Mais dans quelle galère me suis-je encore mis... J'ai quitté ma France chérie pour me mettre au vert et me voilà encore au milieu des armes... Affaire à suivre...
Jour 25 : C'est décidé je me tire Altis c'est pas mieux que la France de la dernière guerre... J'ai encore perdu des collègues à tour de bras et je n'ai pas fait fortune, je dirai même que j'y ai encore perdu des plumes... Je ne comprends pas ou on a merdé... Je pars loin cette fois, Tanoa une petite archipel qui ma foi ma l'air tranquille.
Jour 32 : Bon ça y est cette fois fini les fusillades et bienvenue aux cocktails sur la plage! Enfin on va commencer par ce faire un peu d'argent ça ira bien comme ça, mais après je vais me dorer la pilule sur la plage.
Jour 35 : Putain mais c'est quoi le problème de ce monde de merde!!! Ici aussi à peine débarqué je me suis lancé dans la récolte de noix de coco pour me faire un peu d'argent de poche et BIM! retour au réel même sur une archipel paumé des gangs de criminels sévissent!
A peine quelques sous en poche et me voilà sous les cocotiers à suer comme un porc et bien sûr débarque dans un Porshe Cayenne, UN PORSHE CAYENNE, un salopard en costard qui me présente sont pote 9mm en acier et me somme de lui filé ma CB... Non mais sérieux un mec en Porshe Cayenne et costard qui braque de pauvres mecs en train de ramasser des noix de coco... Quatre pauvres prolétaires et un prêtre, mais où est-ce que je suis tombé j'ai l'impression que c'est pire qu'Altis. Pour quelques misérables 152$ que se mec m'a volé j'ai les boules... Garde moi grand Dieu miséricordieux de ne pas croiser ce chien si par malheur un flingue me caresse la cuisse.
Jour 36 : Je n'ai pas dormi de la nuit, la journée va être longue sous le soleil de plomb qui baigne Tanoa... Je me suis tourné et retourné dans mon lit sans pouvoir trouver le sommeil. Le braquage au cocotier me ronge...
Jour 42 : Un jour de joie! Quelle surprise Piw Wa, mon ami d'enfance cette grande gueule au grand cœur avec qui j'ai fait les quatre cents coups étant jeune, vient de débarquer sur cette archipel au milieu du bleu de l'océan et je le croise par hasard dans GeorgeTown. Le monde et petit et parfois cela fait du bien. Le hasard disais-je et bien non pas du tout celui-ci me raconte ces histoires et finit par me dire qu'il me cherchait. " Mauvais endroit, mauvais moment " me dit-il, ok j'ai compris pas besoin d'en dire plus je sais ce que c'est. Et une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule ( comme les mauvaise d'ailleurs...) il m'annonce que mon frangin débarque lui aussi sur l'île. "Geoffrey?" mais je le croyais mort en Syrie? Je n'en crois pas mes oreilles!!! Mon frangin est en vie!!! Il ne veut pas m'en dire plus mais me préviens " Il a vécu de sale moment la-bas et il n'en est pas revenu indemne..." ok c'est beaucoup d'infos pour un seul jour, je ne lui ai pas posé plus de question. Nous sommes allés fêter dignement son arrivée au "Bar clandestin" de Harcourt.
Jour 43 : Aie... Ma tête... On a pas rigolé hier soir, je ne me rappel même plus comment on est rentré... Piw Wa a dormi sur le canapé miteux de mon "bungalow", si on peut appeler ça comme sa, poucrave. " Debout trou de balle il faut aller chercher Geo à l'aéroport ".
-" Putain Frangin !!! Je suis trop content de te voir! Je crois que tu as des millions de choses à me raconter." Pas de réponse... "Geo..."
-"Il est muet depuis la Syrie..." me dit Piw
-"Muet..?"
-" Ouais... Un Fils de pute lui as tranché la langue et l'a laissé pour mort en pleine cambrousse là-bas..." balbutia Piw
-"..." Je ne savais pas quoi dire j'étais bouche bée
Apparemment la vie n'a pas été facile non plus pour mon frérot... Malgré tout je relativisais, il est encore en vie. Allons boire un verre de plus et un autre ça nous fera peut être oublier que ce monde est pourri...
Jour 49 : J'ai du mal à dormir encore les histoires de mon frangin et le braquage aux cocotiers me hantent...
Jour 51 : Piw et Geo sont parti sur le continent ce matin pour régler quelques histoires de paperasse . Personnellement je m'en tape de leurs connerie de paperasse j'ai du boulot et l'argent ne tombe pas tout seul dans mes poches. Alors c'est parti direction la fôret que le gouvernement de l'île nous autorise à dévaster "pour les besoins de l'économie locale". Arrivé sur place 9h du mat' , un mec est déjà là en train de bosser. Un type sympa, Sund Turner, et nos point de vue concorde sur plein de chose. A force de parler on se dit que peut être on devrai s'associer et former un groupe de travailleur et pourquoi pas plus par la suite. Cette idée me plaît et avec Piw et Geo nous serions déjà quatre. En plus lui à plus d'expérience que nous il pourrait être un allié précieux. Allez les camions sont plein c'est parti. Un convoi tranquille durant une journée tranquille. Après avoir coupé du bois toute la journée et l'avoir ensuite transformé en planche à la scierie nous voilà arrivé à destination le revendeur de planche.
Nous commençons à débarquer notre marchandise quand d'un coup une bagnole surgit de nul part :
" Les mains sur la tête c'est un braquage ..." le type cagoulé n'a même pas le temps de dire plus Sund sort son flingue et tire. Ça sent la poudre et le sang j'essaie de gueuler " Stop!!! " et je vois un deuxième braqueur que je n'avais pas vu avant tomber au sol blessé et le premier nous blesse tout les deux Sund et moi. " Putain bande d'enfoiré j'allais être gentil mais là c'est chaud pour vos gueules " et des coups de feux retentissent...
Jour 67 : - " Merde mais ou je suis... " dis-je avec peine...
- " Vous êtes à l’hôpital M.Sorien, c'est bien votre nom?" dit un homme en blouse blanche dont je ne me souviens même plus du nom Docteur je ne sais plus quoi
-" Oui putain mais qu'est-ce que je fous ici bordel ! "
-" Quelqu'un vous a retrouvez à la limite du trépas au revendeur de planche, vous avez eu de la chance vous et votre ami que quelqu'un passe vendre sa marchandise avant que vous ne mouriez. "
Sund... Je ne souviens plus bien...
-"Sund, mon ami il est là lui aussi ?"
-" Non M.Turner est parti il y à de ça deux jours il va bien ne vous inquiétez pas. Reposez vous nous ferons encore quelques examens aujourd'hui et si tu vas bien nous vous laisserons sortir demain."
Jour 68 : Je suis sorti de l’hôpital, Piw et Geo ne sont toujours pas rentré au bungalow, mais qu'est ce qu'il foutent bordel. Et Sund, il ne répond à aucun de mes appels...
Jour 70 : - "Fabian, il faut qu'on se voit." c'est Sund mais il me parle sèchement...
-" Putain mec ça fait deux jours que j'essaie de te joindre..."
-" Écoute je n'ai pas envie de parler au téléphone on se voit à 16h au café de GeorgeTown." me coupa-t-il la parole.
15h50 j'arrive au café de GT, Sund est déjà là.
-"Assied toi." dit-il
-"Ok mec, comment tu vas? Pourquoi tu ne me répondais pas? J'ai repensé à ce qu'il s'est passé..." je n'ai encore pas pu terminer ma phrase.
-" Arrêtes tes questions. Je voulais juste te dire que notre projet je crois que je vais le monter seul." affirma-t-il d'un ton sec.
-"Quoi..? "
-"Oui après m'être réveillé sur le lit d’hôpital je me suis refais le film du braquage des milliers de fois et ta réaction quand les types ont débarqué et bien elle ne m'a pas plu. J'attends d'un partenaire qu'il prenne les devants et qu'il n'ai pas peur de faire parler la poudre. Toi tu as voulu négocier et ton manque de réaction à failli nous couter la vie. Alors voilà ma décision est prise nos chemins se sépare ici."
Il se leva et tourna les talons sans plus se retourner. Je suis resté assis sur ma chaise comme un con, j'étais estomaqué ... Je suis resté planté la jusqu'au soir a boire comme un trou... Et puis je suis rentré presque en rampant tellement j’étais saoul...
Jour 71 : Je ne m'en remet pas... Cette île est pire que l'enfer... Et moi... Putain mais c'est quoi mon problème... Après dix piges dans l'armée, après les horreurs que j'ai vécu, après Altis, je continu à essayé de parlementer, de négocier avec des enfoirés qui pointe un putain de calibre sur ma gueule. C'est fini. Aujourd'hui quelqu'un d'autre est né.
Jour 72 : Piw et Geo sont enfin revenu. Je leur ai raconté ce qu'il s'est passé durant leurs absence : Sund, le braquage, l’hôpital etc... Nous avons passer la journée à en parler, enfin Geo c'est contenté de remuer la tête car sans langue... Et nous en sommes arrivé à la conclusion suivante : il nous faut de quoi nous défendre et défendre les plus faibles ceux qui n'ont rien demandé qui triment comme des bêtes et se font braquer voir tuer pour rien. Les "Fils de Tanoa" sont nés.
Jour 78 : Piw et Geo sont encore partit sur le continent , à croire que la France leurs manque.
Et moi comme d'habitude je trime. Pour changer je suis aller à la forêt pour faire des planches, j'y ai rencontré Claude Duque et Loutcho Foxh. Deux personnes sympathiques et qui m'ont l'air honnêtes. La journée de dur labeur accomplie nous rentrons chez nous tranquillement avec le sentiment, pour ma part que cette rencontre ressemblé étrangement à ma rencontre avec Sund. Je leurs donne rendez-vous le lendemain pour passez une nouvelle journée à bosser et ils acceptent. Tant mieux la compagnie de ces deux hommes est bonnes et je n'oublie pas que "Les Fils de Tanoa" ont besoin de grandirent en nombre.
Jour 79 : Encore une journée de travaille abattue et mes deux loustics sont toujours aussi bien. J'ai l'impression que je peut leurs faire confiance, alors je me lance et leurs parle de notre petite équipe et de son projet. Ils ont l'air emballé, tant mieux, et me demande de leurs laisser la nuit pour y réfléchir : "Bien entendu à demain la nuit porte conseil" leurs répondis-je
Jour 80 : Nouveau rendez vous avec Claude et Loutcho, ça y est ils sont décidés ils nous rejoignent! Alléluia! Nos deux premières recrues, espérons qu'elles en appellent d'autres.
Jour 82 : Aujourd'hui j'ai fait par hasard la rencontre de Tony Bollino, le mec est un peu spécial et il m'interpelle en pleine rue de Georgetown pour savoir si des armes m’intéresse. C'est un signe de la providence j'ai besoin d'arme pour le groupe et bim! un mec me propose ça comme ça en pleine rue de Georgetown.
-" Détends toi mec en pleine rue ça craint" lui dis-je
-" Tinquiete je n'ai pas vu un gendarme dans le coin depuis longtemps et je le connais bien le coin" me répondit-il
-" Ok ok mais allons dans un endroit tranquille"
c'est pas que je flippais mais c'était la première fois que je faisais ça. Cool trois armes c'est un début. Ce mec est bizarre mais il a l'air cool. je lui ai demandé s'il faisait parti d'un gang et il me répondit qu'il était rebelle autrefois mais que c'était fini. Il me propose comme je ne connais pas specialement bien l'île, mis à part les routes qu'on l'on emprunte en convoi, de me faire visiter l'archipel en hélico. Il a un hélicoptère c'est bon ça. Si tout se passe bien durant la journée je lui proposerais de nous rejoindre.
La fin de la journée arrive j'ai découvert plein d'endroit qui m'étaient inconnus jusque là.
Voilà la nuit tombe et j'ai passer une journée ma foi fort sympathique, il est un peu bizarre comme je le disais mais il est vraiment sympa. Il me fait penser à "Looping" de "l'agence tout risque". Je lui ai poser la question de savoir s'il voulait nous rejoindre et il a accepté. Une bonne chose pour nous nos rangs grandissent et nous serons bientôt assez nombreux pour penser à remplir nos objectifs.
Jour 83 : Rendez vous à Oumere pour aller bosser et faire connaissance tous ensemble. Petite journée mais tout c'est bien passé. Demain nous passerons à l'action et nous frapperons des criminelles qui pensent être tranquilles lorsqu'ils travaillent comme tout le monde. Mais ça c'était avant, nous sommes conscient que nous ne pouvons pas encore rivaliser avec eux sur leur terrain alors nous frapperons sur le notre. Mais d'abord il nous faut une bonne nuit de sommeil.
Jour 84 : C'est le jour J notre première action en temps que "Fils de Tanoa" on roule de vendeur en vendeur en espérant trouver un criminelle au boulot. Le tissus, le pétrole, le sucre... pas un foutu criminelle en vue sur les vendeurs... Bande de fainéant juste bon à piller les travailleurs bordel... Et là aux vendeurs de planche Alléluia je reconnais cet uniforme un Aquilla, celui-là il est pour nous! Bon il est pas tout seul mais tant pis l'autre est un civil désarmé il n'opposera pas de résistance et puis vu son camion il n'est pas pauvre lui non plus tant pis pour lui il n'avait qu'à pas bosser avec un criminelle.
On débarque de la caisse : - "Allez les mains sur la tête c'est un braquage!" cri Tony " Looping" Bollino. Il court de l'un à l'autre il a l'air perdu, c'est notre premier braquage et tout le monde est un peu fébrile.
- " Loutch' appui "Looping" qu'il prennent le fric du civil et Claude couvre nos arrière regarde qu'il n'y ai pas de flics qui arrivent !" ordonnais-je
- "Ok!" répondit Loutcho
-" C'est bien pris je prends les extérieur" répondit à son tour Claude.
Je m'occupe personnellement du Aquila, enfin je le tiens en respect pour qu'il ne tente rien.
-" Je peux savoir qui vous êtes ? " me demanda t-il
-" Non tu peux pas. " rétorquais-je
-" Vous ne voulez pas savoir qui je suis non plus "
-" Non ça ne m'intéresse pas." lui lançais-je un peu déboussoler, est-ce qu'il serait un boss des Aquila ? Non un boss de gang qui se tuerai les mains aux boulot je n'y crois pas ce n'est qu'une petite main et il tente de nous déstabiliser et le pire c'est que sa marche tout le monde se regarde d'un air soucieux... Rien à foutre de toute façon c'est fait.
-"Looping viens vider les poches de celui-là" " Allez on se casse !"
Trop content de nous de notre action qui s'est passé sans accro majeur nous nous sommes rendu jusqu'à La Rochelle, histoire de se poser et de mettre l'argent en sureté, rigolant tout le trajet, se gargarisant de notre "exploit". Nous nous sommes changé, enfin pas tous, certain n'ont fait que retirer les accessoires superflue histoire de passé un peu plus incognito, nous avons même changé de voiture. Mais la près du supermarché de la ville, nous avons commencé à déchanter... Le camion du Aquilla vient de s’arrêter à quelques mètres de nous et le criminelle en descendit AK 74 et gilet pare balle lourd sur lui... Il fit quelques pas en rond près de son camion en fumant une cigarette pendant que nous faisions mine de rien et que nous continuions à parler comme si de rien n'était mais nos voix n'étaient plus naturelle et le mal aise se sentais... Nous avons ensuite entendu un hélicoptère qui se rapprochait... Et d'un coup nous nous sommes retrouvé encerclé par cinq ou six Aquilla dont deux sur le toit du supermarché où leurs hélico était posé... "Ca pue la merde..." ais-je pensé... L'Aquilla que nous avons braqué jeta sa clope au sol et se dirigea vers nous. -" Je vous avez dit que c'était une erreur que vous n'auriez pas dû faire ça et vous n'avez rien voulu savoir, dommage pour vous. Je vous laisse une dernière chance rendez moi mon blé et je ne vous buterai pas." nous dit-il d'une voix calme.
-" Euh... Désolé mais je ne sais pas de quoi vous parlez Monsieur... Nous étions..." balbutiais-je
-" Oui on ne comprends pas de quoi vous parlez... Nous sommes de simples civil...Nous ne sommes pas armés on a pas pu vous braquer" balbutia aussi Tony.
-" Ah bon, pourtant c'est bizarre je ne vous ai pas parlé de braquage." répondit-il le sourire aux lévres. " Vous avez 10 secondes pour avouez où ça va mal finir pour vous" ajouta-t-il.
Nous nous sommes regardé, bête... Merde la ça craint... Qu'est-ce qu'on fait? On avoue? Non il bluff il prêche le faux pour avoir le vrai il ne nous a pas vraiment reconnu... Je ne sais pas ce qui m'a pris et je lui ai lancé
-" Mec c'est toi qui a les flingues nous on a rien c toi qui nous braque alors fait comme tu le sens mais nous on ne dira plus rien".
Il décomptait pendant que je parlais et son ultimatum s'achevait -" 3 , 2 , 1 allez y buté les. " dit-il d'une voix calme.
J'ai entendue deux coups de feux puis plus rien...
J'ai réouvert les yeux quand j'ai entendue -" Ne bougez pas monsieur c'est la Gendarmerie, je vous ai stabilisé un médecin va arriver d'ici peu tenez bon. Je ne peux pas rester avec vous car mes collègues se font tirer dessus mais ne bougez pas les secours arrivent."
Puis je les ai refermé... Je ne les ai réouvert qu'a l'arrivée du médecin. Je me suis tourné et j'ai vu le corps de mes camarades sans vie... J'étais le seul rescapé... Impossible de me souvenir de la suite des événements...
Merde mais qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu bordel !!! N’ai - je pas encore purger mes fautes ... L'enfer c'est les autres et j'ai limpression d'être au purgatoire depuis bien trop longtemps... J'me casse terminé les îles exotiques...
Jour 87 : Je me suis enfui dans un bateau comme un clandestin direction le continent. Une fois à terre j'ai voulu contacter mon frère et ma famille. Personne ne répond, tant pis ils auront la surprise de voir débarquer un fantôme.
Jour 88 : Me voilà dans mon village. La maison de mon enfance, j'ai comme un brin de nostalgie en pensant à notre enfance ici. "Papa, Maman " rien pas un bruit pas un chat... Merde la maison est vide, plus de meuble plus trace de vie ici et apparemment depuis un moment vu la poussière au sol. Je fais le tour de la propriété, rien... Personne ne répond non plus au téléphone. Allons voir les voisins peut être qu'ils pourront me renseigner.
Personne ne les a vu depuis plus de deux mois. Personne n'a été prévenu de leurs départ ils se sont volatilisés avec leurs meubles ... Bizarre...
Jour 89 : Nuit de merde hotel pourri, moi qui croyais dormir comme un prince et me faire servir ... Bref toujours pas de nouvelle de la famille. Je vais donc repartir errer comme un zombie je ne sais pas encore où mais pas ici... J’espère que quelqu'un me donnera signe de vie...
Jour 91 : Bon et bien rien n'a changé ici c'est toujours aussi chiant, faut que j'me casse et rapido. J'ai vu une pub pour une île , oui encore un île, où l'administration va bientôt donner des visas pour repeupler ce "petit coin de paradis" alors bon pourquoi pas j'ai envoyé les papiers. On ne sait jamais c'est peut être là que je pourrais mener une vie tranquille, ça ne mange pas de pain d'essayer. Belle île, c'est le nom du "petit coin de paradis" espèrons qu'elle porte bien son nom. A défaut de mener une vie de luxe je pourrais couler des vieux jour pépére. Je ne manquerai à personne ici... Et puis la fortune sourit aux audacieux alors allons-y pour un énieme cassage de dents en régle, je ne suis plus à sa près. Belle île j'espère que tu me donneras ma chance.
Jour 98 : Notre bateau a échoué et nous ne sommes jamais arrivé sur Belle île... Où est-ce que nous sommes..? Déjà on est pas sur une île déserte on peux s'estimer heureux... Voyons voir ce que nous pourrons trouver ici.