Nom: Reus
Prénom: Marceau
Histoire RP:
"Je suis né à Berlin, en 1993 d'une mère française et d'un père allemand. Ma mère était Französischlehrer et mon père lui était Generalmajor dans la Heer. Il était un idole pour moi, je voulais devenir comme lui plus tard. C'est pourquoi en 2009, quand j'ai eu 16 ans je me suis engagé. J'empilais les années de service, je montais en grade rapidement. Au bout de 13 ans de service j'atteins le grade d'Oberleutnant. J'avais des hommes sous mon commandement, et nous formions une deuxième famille. Mais lors de ma quatorzième année, je fus envoyé une nouvelle fois en Afghanistan. Notre mission se déroulait super bien, aucune perte, les civils étaient gentils avec nous. Mais durant la dernière semaine de déploiement, une mission comme toutes les autres, me restera graver à vie. Nous devions prendre un village et le sécuriser. Nous nous approchions, quand tout à coup des aufständische ouvrit le feu sur nous. Nous répliquons et une bataille de deux heures commença. Quand nous avons enfin pus prendre le village, on m'informa que nous avions capturé quelque aufständische. J'étais dans un état second, durant la bataille, j'ai vu certains de mes hommes tomber à coté de moi. Quand Hans est venue me donne nos pertes, je ne lui ai dit qu'une phrase "Ramène les aufständische dans la petite Haus au fond".Il y en avait 3, deux soldats restèrent devant la porte pour surveiller et Hans resta avec moi. Je crois qu'a force de voir toutes les horreurs pendant 13 ans et qui aujourd'hui beaucoup de mes frères soit tombé, cela m'a rendu verrückt. Je me mis alors à les torturer un par un pour avoir des infos. J'étais en train d'enfreindre toutes les règles. Quand j'eus obtenu ce que je voulais, j'abattis ces trois aufständische froidement. Je demandai à Hans de faire un rapport de ce qui s'était passé, mais en faisant exception de cela. Quand nous sommes retourné en Allemagne, je fis convoquer en commission de disciple. Hans l'avait marqué dans son rapport, mais je ne lui en veux pas c'était pour mon bien. J'étais devenue une honte aux yeux de mon père, et lors de la commission, je fis renvoyer de la Heer. Mais ils ne voulaient pas que je retourne dans la vie active comme cela. Alors, ils tamponnèrent mon dossier d'un gros verrückt rouge et je fus mis dans un asyl. On s'occupe bien de moi, j'étais très calme et les infirmiers et infirmières aimaient être avec moi car je me laisser faire. Un jour, une infirmière du nom de Claudia, elle me fit part d'une île où il n'y avait pas d'extradition et où il faisait bon vivre. Un endroit où personne ne me connaitrais et où je ne pourrais travailler etc. Elle me dit aussi qu'il y avait des mafias et des aufständische là-bas. Elle savait que je pourrais replonger mais, elle préférait me voir heureux sur cette île, que dans cet asyl. Je lui promis de lui envoyer des nouvelles. Elle me déposa am flughafen, je lui dis Auf wiedersehen. Et je montai dans das flugzeug direction Altis."