Présentation IRL
Présentation RP
Histoire RP
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* Dossier de Mark Ulrich Joseph GOETZ
*
* Né le 22 Août 1982 à Albestroff, FRANCE
* Dernier domicile connu: Munich, ALLEMAGNE
* Dernière profession exercée : officier KSK (Kommando Spezialkräfte) au sein du 4ème peloton spécialisé dans les opérations en régions difficiles.
* A été révoqué pour cause de non respect de la hiérarchie et agissements douteux lors des opérations
* Mandat d’arrêt Européen pour désertion, possession
* En défaut de paiement depuis plus de 6 mois
*
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Un bateau, c'est tout ce que j'ai trouvé de plus de plus discret pour pouvoir aller sur cette île loin de tout. Cette île où je pourrais prendre un nouveau départ loin des ennuis qui me poursuivent en Europe.
Officier Mark GOETZ aussi appelé KozaK, un commando, un vrai. Enfin c'est ce que j'étais avant d'être révoquer après ce qui fut ma dernière opération en terrain hostile. Je savais que mes méthodes n'étaient pas conventionnelles, mais elles fonc tionnaient bien et ça on ne pourra me le reprocher.
Bon là si c'était un film ce serait le moment du flashback avec un topos sur mon parcours, du coup en avant pour l'amusement:
Je suis né dans une petite bourgade de la Mozelle de parents d'origine Allemande. Pourquoi ils ont emménagé là bas ? Je me suis toujours posé la question, pour changer de leur appartement en plein centre de Francfort je suppose. M'enfin j'ai eu un enfance et une adolescence sans problème, jusqu'au jour où je suis allé m'enrôler dans l'armée allemande. Un retour au source certain diront.
C'est d'ailleurs à partir de ce choix que les galère ont commencé. Au début pas grand chose juste la paperasse pour obtenir la nationalité allemande et des problèmes de compréhensions avec les "locaux" (toute l’Allemagne en fait). D'ailleurs, me demander pas de parler allemands, le peux que je connaissais est parti aussi vite qu'il est arrivé.
Une fois la nationalité obtenue, je me suis inscrit à l'université de la Bundeswehr à Munich. Et contrairement à ce que j'ai toujours pensé l'école militaire c'est pas simple : ça ne se résume pas qu'à tiré sur des cibles et faire du parcours du combattant, on en est loin du mythe de Full Metal Jacket... Enfin tout ce qui sont passé par là comprendront.
Une fois les années d'études et de calvaire scolaire passées, je me suis présenter chez les Kommando Spezialkräfte, j'ai été admis sans trop de soucis et assigné au 1er peloton, l'équivalent de l'armée de terre française pour vulgariser.
J’ai pu goûter au terrain au bout de 6 mois d’exercices, et devinez où mon régiment a été envoyé, dans le nord de l’Afghanistan, comme c’est étonnant. Le quotidien était composé de missions de sécurisation de position et de déminage, le top quand on commence, non ? En tout cas on était loin de la vision filmique que j’avais de la guerre à l’époque.
J’appris ma mutation au 4ème peloton des KSK à mon retour de mission au bout de 2 ans. Alors là je vous laisse vous imaginez l’explosion du slip quand lors de cette annonce : être muté dans le peloton spécialisé dans les opérations en régions difficiles géographiquement et météorologiquement. Qu’est-ce que j’étais con…
De retour en Afghanistan pour mes premières missions au sein du 4ème, vous vous imaginez même pas à quel point j’étais heureux d’y retourner… Oui, vous l’aurez remarqué je suis un fervent supportaire de l’ironie. Dès le départ j’ai compris que j’allais pas rentrer de si tôt et ça n’a pas manqué : j’ai passer 9 ans de ma vie dans ce désert perdu de la province de Bahlk. Si ce n’était pas l’enfer, c’était ce qui peut s’en raprocher le plus. Avec la 4ème, j’étais passé au niveau au dessus : missions de reconnaissance, sécurisation de zones à haut risque et autres opérations coup de poing pour détruire l’ennemi. Car oui, pour nous le but n’étais pas de repousser ou d’endiguer l’ennemi,c’était le traquer pour l’éliminer, comme notre commandant aimait nous le rappeller: avant d’être des soldats, nous sommes des tueurs, froid et réfléchi certes mais cela ne change rien à notre nature primaire. C’est cet environnement qui m’a endurci et fait évolué vers ce que je suis aujourd’hui. Comme je l’ai dit précédemment, les méthodes de mon escouade était au delà de la convention de Genève et ça ne posait pas de problème à notre commandant, tout du moins jusqu’à ce qu’il saute sur une mine et sois renvoyé au bercail. Et celui qui le remplacer a tenté de nous faire comprendre qu’il ne tolérerait aucun pas de coté, “tenté” parce que personnellement je n’y ai pas cru. En plus pourquoi changer des méthodes qui fonctionnent si bien. J’ai continué les interrogatoire musclé, les tirs létal et tout le toutim malgré les conseil des collègues qui semblait être inquiété par le nouveau gradé. J’ai continué jusqu’au jour ou je me suis fait pincer en train d’interroger un insurgé à coup de crosse de HK417.
Le “commandant” se trouvait en fait être un colonel qui avait de là bouteille. S’en suivit le renvoi au pays, la mise à pied et le tribunal de guerre. Le tribunal de guerre bordel, ni une ni deux j’ai filé avant mon jugement, direction la Russie, avec de la chance rien n’aura fuité et j’aurais le temps de m’enroler dans l’armée de terre Russe ou mieux dans le FSB. Recalé au deux, à priori mon prifil psychologique ne fait pas l'unanimité. Du coup direction la France par bus ce serra le plus simple et discret, enfin ça l’aurait été si je ne m’était pas fait contrôler par les gardes frontière russe avec mon USP Compact dans le sac. Quelques coup de poing pour me dégager des gardes, sortir du bus et arrêter une voiture.
J’ai pris l’autoroute à fond et j’ai roulé pendant prêt de trois heures. Je me suis arrêté dans un village de Pologne nommé Ścinawa où se trouvait un cybercafé. Je m’y suis arrêté, loué un ordinateur et chercher sur le Web un endroit où je serai en sécurité et loin de tout, mon retour en France étant grandement compromis.
Deux îles paumées en Méditerranée très peu connu et loin de tout se sont présentée à moi : Stratis et Altis. Altis me semblais être le choix le plus judicieux, l’île était grande, comprenait un bon nombre de villes et villages et d'immenses plaines boisées ou non idéal pour se planquer. La cerise sur le gâteau : l’île est en complète autarcie et ne fait pas parti de l’union Européenne. Mon choix était fait, il me restait plus qu’à trouver un bateau et à mettre les voiles. Et pour cette partie j’avais déjà ma petite idée et elle s’appelait Hugo. Avant de quitter le cybercafé, j’avais quand même penser à effacer toutes traces du PC que j’avais utilisé de manière très simple : on ouvre de la tour, on trouve le disque dur puis on l’explose. J’avais eu le temps de partir avant que le gérant s’en aperçoive. Ce faisant, je pris la direction du nord pour rejoindre le port et me retrouver sur ce bateau qui me menait à Altis grâce à Hugo.
Mark GOETZ, Terminé
- Age: 20ans
- Lieu de résidence: Lunel (à l'est de Montpellier)
- Comment avez vous connus le serveur: par un collègue qui viens plus aux soirées (le principal intéressé comprendra)
- Vos loisirs, passions : Gaming, Airsoft, Développement Web, Infographie 2D, Musique et VTT
- Paragraphe Libre : Moi c'est Maric, j'ai quelques expérience en RP notament sur ArmA II et III. Niveau gros serveur RP j'ai été sur Fantasma mais j'ai perdu le plaisir de jouer à ce mod quand le serveur à commencer à partir en cahuète entre les DDOS, le kikoos et le RP qui allait dans tout les sens. J'espère retrouver ici ce plaisir perdu avec du RP péchu et des events de folie.
- Le mot de la fin ? Cassoulet !
Présentation RP
- Nom et Prénom de votre personnage : Mark 'KozaK' GOETZ
- Âge de votre personnage : 32 ans
- Nationalité de votre personnage : Franco-Allemend
Histoire RP
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* Dossier de Mark Ulrich Joseph GOETZ
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* Né le 22 Août 1982 à Albestroff, FRANCE
* Dernier domicile connu: Munich, ALLEMAGNE
* Dernière profession exercée : officier KSK (Kommando Spezialkräfte) au sein du 4ème peloton spécialisé dans les opérations en régions difficiles.
* A été révoqué pour cause de non respect de la hiérarchie et agissements douteux lors des opérations
* Mandat d’arrêt Européen pour désertion, possession
* En défaut de paiement depuis plus de 6 mois
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Un bateau, c'est tout ce que j'ai trouvé de plus de plus discret pour pouvoir aller sur cette île loin de tout. Cette île où je pourrais prendre un nouveau départ loin des ennuis qui me poursuivent en Europe.
Officier Mark GOETZ aussi appelé KozaK, un commando, un vrai. Enfin c'est ce que j'étais avant d'être révoquer après ce qui fut ma dernière opération en terrain hostile. Je savais que mes méthodes n'étaient pas conventionnelles, mais elles fonc tionnaient bien et ça on ne pourra me le reprocher.
Bon là si c'était un film ce serait le moment du flashback avec un topos sur mon parcours, du coup en avant pour l'amusement:
Je suis né dans une petite bourgade de la Mozelle de parents d'origine Allemande. Pourquoi ils ont emménagé là bas ? Je me suis toujours posé la question, pour changer de leur appartement en plein centre de Francfort je suppose. M'enfin j'ai eu un enfance et une adolescence sans problème, jusqu'au jour où je suis allé m'enrôler dans l'armée allemande. Un retour au source certain diront.
C'est d'ailleurs à partir de ce choix que les galère ont commencé. Au début pas grand chose juste la paperasse pour obtenir la nationalité allemande et des problèmes de compréhensions avec les "locaux" (toute l’Allemagne en fait). D'ailleurs, me demander pas de parler allemands, le peux que je connaissais est parti aussi vite qu'il est arrivé.
Une fois la nationalité obtenue, je me suis inscrit à l'université de la Bundeswehr à Munich. Et contrairement à ce que j'ai toujours pensé l'école militaire c'est pas simple : ça ne se résume pas qu'à tiré sur des cibles et faire du parcours du combattant, on en est loin du mythe de Full Metal Jacket... Enfin tout ce qui sont passé par là comprendront.
Une fois les années d'études et de calvaire scolaire passées, je me suis présenter chez les Kommando Spezialkräfte, j'ai été admis sans trop de soucis et assigné au 1er peloton, l'équivalent de l'armée de terre française pour vulgariser.
J’ai pu goûter au terrain au bout de 6 mois d’exercices, et devinez où mon régiment a été envoyé, dans le nord de l’Afghanistan, comme c’est étonnant. Le quotidien était composé de missions de sécurisation de position et de déminage, le top quand on commence, non ? En tout cas on était loin de la vision filmique que j’avais de la guerre à l’époque.
J’appris ma mutation au 4ème peloton des KSK à mon retour de mission au bout de 2 ans. Alors là je vous laisse vous imaginez l’explosion du slip quand lors de cette annonce : être muté dans le peloton spécialisé dans les opérations en régions difficiles géographiquement et météorologiquement. Qu’est-ce que j’étais con…
De retour en Afghanistan pour mes premières missions au sein du 4ème, vous vous imaginez même pas à quel point j’étais heureux d’y retourner… Oui, vous l’aurez remarqué je suis un fervent supportaire de l’ironie. Dès le départ j’ai compris que j’allais pas rentrer de si tôt et ça n’a pas manqué : j’ai passer 9 ans de ma vie dans ce désert perdu de la province de Bahlk. Si ce n’était pas l’enfer, c’était ce qui peut s’en raprocher le plus. Avec la 4ème, j’étais passé au niveau au dessus : missions de reconnaissance, sécurisation de zones à haut risque et autres opérations coup de poing pour détruire l’ennemi. Car oui, pour nous le but n’étais pas de repousser ou d’endiguer l’ennemi,c’était le traquer pour l’éliminer, comme notre commandant aimait nous le rappeller: avant d’être des soldats, nous sommes des tueurs, froid et réfléchi certes mais cela ne change rien à notre nature primaire. C’est cet environnement qui m’a endurci et fait évolué vers ce que je suis aujourd’hui. Comme je l’ai dit précédemment, les méthodes de mon escouade était au delà de la convention de Genève et ça ne posait pas de problème à notre commandant, tout du moins jusqu’à ce qu’il saute sur une mine et sois renvoyé au bercail. Et celui qui le remplacer a tenté de nous faire comprendre qu’il ne tolérerait aucun pas de coté, “tenté” parce que personnellement je n’y ai pas cru. En plus pourquoi changer des méthodes qui fonctionnent si bien. J’ai continué les interrogatoire musclé, les tirs létal et tout le toutim malgré les conseil des collègues qui semblait être inquiété par le nouveau gradé. J’ai continué jusqu’au jour ou je me suis fait pincer en train d’interroger un insurgé à coup de crosse de HK417.
Le “commandant” se trouvait en fait être un colonel qui avait de là bouteille. S’en suivit le renvoi au pays, la mise à pied et le tribunal de guerre. Le tribunal de guerre bordel, ni une ni deux j’ai filé avant mon jugement, direction la Russie, avec de la chance rien n’aura fuité et j’aurais le temps de m’enroler dans l’armée de terre Russe ou mieux dans le FSB. Recalé au deux, à priori mon prifil psychologique ne fait pas l'unanimité. Du coup direction la France par bus ce serra le plus simple et discret, enfin ça l’aurait été si je ne m’était pas fait contrôler par les gardes frontière russe avec mon USP Compact dans le sac. Quelques coup de poing pour me dégager des gardes, sortir du bus et arrêter une voiture.
J’ai pris l’autoroute à fond et j’ai roulé pendant prêt de trois heures. Je me suis arrêté dans un village de Pologne nommé Ścinawa où se trouvait un cybercafé. Je m’y suis arrêté, loué un ordinateur et chercher sur le Web un endroit où je serai en sécurité et loin de tout, mon retour en France étant grandement compromis.
Deux îles paumées en Méditerranée très peu connu et loin de tout se sont présentée à moi : Stratis et Altis. Altis me semblais être le choix le plus judicieux, l’île était grande, comprenait un bon nombre de villes et villages et d'immenses plaines boisées ou non idéal pour se planquer. La cerise sur le gâteau : l’île est en complète autarcie et ne fait pas parti de l’union Européenne. Mon choix était fait, il me restait plus qu’à trouver un bateau et à mettre les voiles. Et pour cette partie j’avais déjà ma petite idée et elle s’appelait Hugo. Avant de quitter le cybercafé, j’avais quand même penser à effacer toutes traces du PC que j’avais utilisé de manière très simple : on ouvre de la tour, on trouve le disque dur puis on l’explose. J’avais eu le temps de partir avant que le gérant s’en aperçoive. Ce faisant, je pris la direction du nord pour rejoindre le port et me retrouver sur ce bateau qui me menait à Altis grâce à Hugo.
Mark GOETZ, Terminé