- Présentation IRL
-Lieu de résidence ; Linselles, au nord de Lille
-Comment avez vous connus le serveur ; Grâce à des amis joueur sur le serveur
-Vos loisirs, passions ; Musique, Aviation militaire et civil, Armes à feu, jeu de simulation : Falcon BMS 4.32/DCS/Lock-on/FSX/Arma2/Arma3, Informatique, Jeu de rôle papier
-Paragraphe Libre ;
Je suis actuellement étudiant en 2ème année de BTS Aéronautique, je reviens tout juste d'un stage dans l'armée qu'on m'oblige a venir jouer avec vous (ce qui n'est pas du tout déplaisant, je vous rassure !)
Je joue à Arma depuis que le deuxième opus est sorti et jusqu'à très peu je ne faisait uniquement de la milsim, mais par manque de temps dû à l'éloignement géographique de mes études je ne peux plus en faire, je me suis donc mis à Altis life.
J'ai commencé il y a maintenant presque 2 ans, j'ai pu grandement améliorer mon RP durant tout ce temps et surtout grâce à deux grand gaillard.
- Présentation RP
-Age de votre personnage ; 28 ans
-Nationalité de votre personnage ; Japonaise
-Origine : Française
- Histoire RP
Je suis né en France, le 25 février 1992, quelque part dans le nord. En soit je suis une erreur, né d’un coup d’un soir entre un homme à femme et une adolescente, j’ai été abandonné dès ma naissance par ma génitrice à un organisme d’adoption.
J’ai donc fait deux heureuses personnes en étant adopté, vers mars 1992, par un couple japonais, d’où mon nom discordant avec mon joli type caucasien : Yohnattan Art.
J’ai toujours su, dès que j’ai eu l’âge pour le comprendre, que j’étais adopté et cela ne m’a jamais dérangé.
J’ai donc grandi dans l’archipel pacifique qu’est le Japon, à Shōwa dans la préfecture de Fukushima.
Mes parents étaient des personnes très sociables et très gentils.
C’était des gens très littéraire, ma mère écrivait, et mon père tenait une petite boulangerie en ville, si on peut appeler cela une ville.
Ils ont donc toujours mis un point d’honneur à ce que j’apprenne 1 langue dès mon plus jeune âge : le français, ma langue natale.
Sans compter les brimades habituelles que l’on fait à un enfant adopté, l’école primaire se passe sans encombre. Mais ce seront des années assez studieuses, en plus d’apprendre le français avec les parents, j’ai commencé à apprendre le piano. Cela fait que je ne suis pas très à l’aise au niveau social.
Au début des années de collège, je découvre l’aviation qui va vite devenir une véritable petite passion, ce qui va m’encourager encore plus à travailler à l’école, car au Japon on apprend très vite que le pays est très élitiste.
Le collège ne se passe pas si bien que ça, beaucoup de conflit à cause de la différence « racial », ce qui me force à me renfermer. Je trouve néanmoins un réconfort sur dans l’aviation et les mangas.
Durant cette période-là, je passe avec succès mon BIA.
Etant donné l’éloignement de mon petit village et au vu de ma passion, mes parents décident de m’envoyer étudier dans un lycée privé de Tokyo. Pour leur diminuer la charge financière je décide de trouver un job d’étudiant. Entré au lycée les tensions disparaissent, effectivement les gens commencent à avoir l’esprit plus ouvert, je me fais très vite un petit groupe d’amis au travers le bureau du conseil des élèves.
Etant donné que mes parents refusaient que je les aide pour le loyer, avec l’argent que je gagne avec mon job étudiant je me suis payé des heures de vol en avion pour obtenir mon brevet de base et ensuite mon PPL.
Avec le reste de l’argent, à la fin de ma première année de lycée, j’en profite pour voyager en France je visite les principaux monuments de Paris : la tour Eiffel, l’arc de triomphe, le champ de mars, l’obélisque. Trois jours avant de rentrer je rencontre une jolie brune dans une petite boutique.
A la rentrée de ma seconde année au lycée j’entre dans le conseil des élèves en tant que secrétaire, et l’année se passe plutôt bien, je commence à avoir moins de temps pour pratiquer le piano et j’arrête en fin d’année scolaire. J’obtiens mon Brevet de base, je commence à voler en solo mais je ne veux pas me limiter à 30 nautiques miles autour de mon aérodrome d’attache, je continue donc de prendre des cours avec instructeur. Ayant gardé le contact avec la jeune fille brune, durant mon voyage je passe beaucoup de temps avec elle quand je retourne pour deux semaines à Paris. J’en apprends plus sur elle, comme le fait qu’elle étudie la langue japonaise en mangeant des crêpes. Au retour de mon second voyage je poste ma candidature pour devenir président du conseil des élèves ; et au début de ma dernière j’entre en fonction en tant que vice-président.
Ma troisième année se passe mieux que jamais : je m’épanouis à l’école, j’obtiens mon PPL, le voyage de fin d’étude sur l’île d’Okinawa avec le lycée est super.
Après avoir reçu mon diplôme, quelque jour après la fête d’anniversaire de mes 18 ans, je décide de m’engager dans la JASDF.
La sélection ce faisant mi-avril, je décide de faire un dernier voyage en compagnie de Lena, la jolie brune, à Lille. Je reviens de ce voyage avec une relation à longue distance dans mes bagages.
Nous sommes le 15 avril 2010, je commence donc les tests qui dureront une semaine.
J’ai eu le droit à l’enfer durant cette semaine : Test psychomoteurs, psychologique, physique.
A la fin de cette semaine le capitaine responsable des tests nous a dit que nous recevrons une lettre si refusé, et un coup de fil si accepté.
Une semaine après les tests je reçois une lettre, je l’ouvre et je lis : « Nous avons le plaisir et l’honneur … », non, ils ne sont pas aussi mesquin que ça ?! « L’honneur de vous annoncer la réussite de vos tests »
Je suis donc envoyer dans une école militaire pour une durée de 14 semaines pour devenir un soldat et ensuite un officier. Après les tests finaux je reçois mon affectation : Base Aérienne de Fuchū en qualité de pilote d’hélicoptère.
La suite sera 24 longs mois de théorie, apprentissage et pilotage…
Le 1 septembre 2012 je suis officiellement pilote hélicoptère de la JASDF, je suis intégré en tant que copilote sur BlackHawk dans l’escadron de sauvetage aérien.
Au début retissent, mon avis change très vite en voyant la corrélation pilote/équipage/médecin exceptionnel comparé à la chasse.
Je passe cinq ans dans la même équipe, enchaînant mission sur mission.
La première année de ces cinq ans, Lena viens s’installer avec moi sur la BA de Fuchū, nous officialisons notre union un an plus tard. J’ai donc droit à un super mariage avec la famille de Lena et la mienne ainsi que des collègues qui en ont profité de leur service pour passer et faire un stationnaire aux dessus de nous pour nous lancer un bouquet de fleur.
Le 1 février 2017, le Japon achète un nouveau parc hélicoptère, une version avancée du BlackHawk : le GhostHawk. Je suis donc choisi pour le programme d’échange international avec les États-Unis pour apprendre à piloté ce nouvel appareil. Je deviens donc un soldat de la JASDF sous tutelle de l’USAF.
La formation ce fait en premier lieu à la Kadena Air Force Base, en quelques mois.
Dans le cadre de l’échange je pars en activité dans un escadron de Pararescue en Afghanistan.
Le 23 septembre 2018, vol RSS101, mission de récupération d’un enfant afghan.
Décollage des deux GH à 14H03, ce jour-là je suis l’hélico reçue et l’autre l’observateur.
Arrivé sur la ZA nous apprenons qu’il y a eu vis de procédure et que l’enfant ne peut monter dans l’hélicoptère, nous repartons donc sans personne.
Décollage de la ZA à 14H37, à peine sept secondes après avoir quitté le sol l’hélicoptère est pris à par part une mitrailleuse KORD, 15 balles touche l’hélicoptère, et le mitrailleur droit se met à littéralement défourailler le KORD. La situation est critique : un PJ est gravement touché à la jambe gauche, le mitrailleur gauche à une éraflure sur le bras droit et moi je prends un bout de fer dans le dos dû à un ricoché sur une pièce métallique rigide du siège, j’ordonne donc le dégagement de l’appareil sur un terrain isolé, je lâche les commandes : « you have control - I have control ».
Le copilote se pose sur le terrain, dix secondes plus tard le deuxième appareil se pose, les PJ du deuxième GH nous rejoigne et me transfère moi et l’autre PJ dans le deuxième GH. Tout cela n’a même pas pris cinq minutes.
Les deux appareils retournent à la base aérienne de Kandahar.
Je suis pris en charge par l’hôpital militaire US. Je perds un rein.
Peu de temps après je suis rapatrier au Japon et mon programme d’échange est écourté.
Le 15 octobre 2018, je me retrouve devant un responsable de gestion des ressources de la JASDF, qui m’explique pendant plusieurs heures le fait que je ne pourrai plus piloter dans l’armée ou dans l’aviation civiledu pays due au fait qu’il me manque un rein.
Je termine donc mon contrat avec l’armée en temps qu’instructeur théorique.
Le 3 mars 2020, je quitte la JASDF. Je dois donc chercher un nouvel endroit où vivre, car je ne peux plus rester sur la base aérienne.
Ma femme m’avoua qu’elle souhaitait partir du Japon, pour une destination qui pourrait l’aider à avancer dans ces recherches.
La destination choisie a été l’île d’Altis, malgré les problèmes actuels de l’île.