Présentation RP :
Alexandre de Villiers
Alexandre de Villiers
1 - Identité
Prénom(s) : Alexandre
Nom(s) : De Villiers
Âge : 40 ans
Date de naissance : 24 octobre 1979
Origine(s) : Français
Langage(s) : Français
Profession(s) / Activité(s) : Officier Général de la Gendarmerie d'Altis
Couleur de peau : Blanc
Taille (en centimètre) : 179
Modification(s) corporelle(s) (ex : Tatouages, Piercing etc…) : Néant
Main préférentielle : Droitier
Couleur des yeux : Bleus
Couleur des cheveux : Brun
Groupe sanguin : A+
État de santé : Correct, légère scoliose de 12 cm
3 - Mentalité générale, personnalité
Alexandre de Villiers, est conscient qu’il porte un titre de noblesse, il est donc très attaché aux valeurs liées à ce titre: la courtoisie, les bonnes manières, le respect, le savoir-vivre et tant d’autres valeurs ont une grande place dans sa vie sociale.
Il n’aura cependant aucun mal à abandonner ces valeurs lorsqu’il rencontrera des individus qui n’adoptent pas ces codes, il a une capacité à s’adapter qui est remarquable, il fonctionne en effet miroir, selon le comportement que vous aurez avec lui, celui-ci saura se calquer sur celui-ci et s’en accommoder. Aimez le, il vous aimera, sauf si de toute évidence, vous n’êtes qu’un pécore, ou que vous êtes inintéressant, idiot, que vous avec des vices ou tout autre défaut qui pourrait contribuer au désintérêt de votre personne. Détestez le et même si vous l’intéressiez au départ, il ne cherchera pas à vous faire changer d’avis et vous exécrera en retour.
Il est globalement d’humeur positive mais d’un pessimisme déconcertant, qui parfois peut anéantir les plus beaux moments de joie, de fête. Il a la fâcheuse habitude de casser l’ambiance.. il voit souvent le côté sombre des choses mais reste très terre à terre, son réalisme aura tendance à faire revenir sur terre tous ceux qu'il appelle "les naifs" ou encore les "bisounours".
4 - Théologie, idéologie, croyances
Religion : Christianisme
Idéologies et alignements : National-libéralisme, Monarchisme ->
Bonapartisme
5 - Liens familiaux
Alexandre de Villiers, fils de Jacques de Villiers et d’Hedwige d’Arexy, frère de Philippe, Bertrand, Pierre, Emmanuel et Marc. Père d'Elise de Villiers qu'il a eu avec son épouse Manon de Villiers.
/!\ A diffuser en même temps /!\
Lien: https://soundcloud.com/patrick_watson/here-comes-the-river
Histoire RP :
Alexandre de Villiers, né à Paris, a eu une enfance heureuse, il n'a manqué de rien, il a passé la majeure partie de sa vie dans le XVI ème arrondissement de Paris dans le luxe et un environnement sein.
Ils reçurent avec ses frères une éducation stricte mais juste, dès le plus jeune âge, Alexandre dû apprendre les codes de la noblesse, les bonnes meurs. Son livre de chevet était le bottin mondain.
Alexandre a toujours été proche de sa famille, mais était plus proche de Marc, son frère, qui a un an de moins que lui mais avec qui il a partagé quasiment toutes les étapes de sa vie.
Dans ses études, du primaire en passant par le secondaire jusqu'aux études supérieures, Alexandre n'a pas autant brillé que ses frères, les grandes écoles comme l'ENA, HEC ou encore Polytechniques n'ont jamais été dans son viseur et ce, malgré le fait que ses parents ne voyaient que par elles.
Dès son adolescence, malgré son éducation littéraire et culturelle très variée, il a toujours été attiré par les auteurs de droite, il était passionné par l'oeuvre de Charles Mauras, écrivain Royaliste, fondateur de l'Action Française, grand mouvement royaliste, encore présent dans la sphère politique française, il y adhère en 1998.
Quelques années plus tard, il s’affûte politiquement et tend vers la ligne bonapartiste du monarchisme.
Il en fait un combat politique et eu l'idée de créer son parti politique, malheureusement il n'ira pas au bout et le projet n'aboutira pas au vu des nombreuses menaces de mort qu'il recevait au quotidien.
A l'age de 20 ans, Alexandre, dépité de voir Paris sombrer lentement dans le crime et la barbarie, témoin des multiples attentats terroristes visant ses compatriotes sur le sol français, va décider de postuler pour le concours des sous-officiers de la gendarmerie nationale française.
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Voici son cursus détaillé:
- Septembre 2000 (20 ans) -> Passe le concours, le réussit et attend d'être incorporé en école.
- Décembre 2001 (22 ans) -> Intègre l'école de Montluçon, suit sa formation de 9 mois et termine dans les premiers du classement, il sort 7 ème de sa promo et choisit le groupement 11/6 de Hyères dans sa liste de vœux, il est affecté dans le prestigieux escadron 24/6 d'Antibes en gendarmerie mobile.
2001 - 2005 (22-26 ans) -> Durant cette période, Alexandre part en outre-mer en Guadeloupe, à La Réunion et en Nouvelle-Calédonie dans cet ordre, il y vit des expériences inédites qui marqueront à jamais sa carrière. Il part également en OPEX au Liban, ce qui va énormément contribuer à forger son caractère.
Il va également faire du renfort brigade durant les périodes estivales dans plusieurs stations balnéaires (Biscarrosse, Nice, Cannes...), mais aussi des missions moins agréables comme le maintien de l'ordre, à Paris durant les manifestations importantes ou encore à Marseille afin de sécuriser les événements sportifs importants comme les matchs de football.
- Décembre 2005 (26 ans) -> Après 4 ans de bons et loyaux services au sein de l'escadron d'Antibes, le jeune gendarme sous contrat devient enfin gendarme de carrière et peut désormais prétendre à passer le diplôme d'arme. En s'inscrivant dans la liste des volontaires, son commandant d'escadron lui annonce qu'il passera la formation de quatorze mois dans le but d'acquérir le diplôme d'arme dans le mois de juillet de l'année 2006.
- Septembre 2007 (27 ans) -> Arrivant au terme de sa formation, il acquiert avec brio le diplôme d'arme, il s'inscrit ainsi à l'OGSD (concours des Officiers de Gendarmerie en Semi-Direct)
qui est un concours lui permettant grâce à son cursus de devenir Officier après deux ans d'école.
- Juin 2008 (28 ans) -> Réussite du concours, départ à l'EOGN (Ecole des Officiers de la Gendarmerie Nationale) de Melun prévu pour mars 2009.
- Avril 2011 (31 ans) -> Sortie d'école et stages effectués, il arrive 13 ème de sa promo et est affecté en tant que commandant de brigade dans la Brigade Territoriale Autonome (BTA) de Beauzelle, en Haute-Garonne (31). Il y prend ses marques et devient de plus en plus à l'aise dans le commandement.
- Septembre 2012 (32 ans) -> Il est promu au grade de Capitaine, est ainsi muté en tant que Commandant de Compagnie Adjoint de la Compagnie de Haute-Garonne (31) et décide de propulser sa carrière en tentant l'Ecole de Guerre. Il échoue une première fois le concours à l'oral par manque de préparation.
- Janvier 2014 (34 ans) -> Il est promu au grade de Chef d'Escadron (commandant) et est ainsi muté en tant que Commandant de Compagnie de la Compagnie du Gers. Il retente l'Ecole de Guerre et échoue à nouveau.
- Novembre 2015 (36 ans) -> Après 2 échecs, il réussi enfin à intégrer l'Ecole de Guerre, il suit alors un cursus exceptionnel de 9 mois durant lequel il sera évalué sur les points suivants: comprendre le monde; maîtriser le fait militaire; commander les opérations; les informations classifiées; les modules spécialisés; et tout au long de la formation la dimension "développement de la personnalité".
- Août 2016 (36 ans) -> Arrivé au terme de sa formation il obtient le Brevet d'Enseignement Supérieur de la Gendarmerie (BESG) et se retrouve ainsi propulsé au grade de Lieutenant-Colonel.
- Décembre 2017 (38 ans) -> Est promu Colonel de Gendarmerie.
- Novembre 2019 (40 ans) -> Est promu Général de Brigade.
- Janvier 2020 (40 ans) -> Le Général De Villiers est convoqué au ministère des armées pour une réunion en la compagnie du Ministre des armées, du Ministre des affaires étrangères du Chef d'Etat Major des Armées (CEMA), du Consul de France basé à l'ambassade d'Altis et de plusieurs Généraux dans le but de constituer une entente avec l'ancienne colonie française "Altis" afin de fournir une formation adéquate aux gendarmes de l'île.
Il est ainsi détaché sur l'île en tant que Général des Armées et a pour tâche de constituer un groupe de gendarmes formés "à la française" tout en l'adaptant à la grande menace rebelle.
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Durant sa carrière, Alexandre a délaissé sa vie familiale, au profit de sa vie professionnelle, il a bien profité lors de ses années en gendarmerie mobile, il a fait honneur à la réputation des "mobiles" comme on les appelle dans le milieu, en s'amusant comme il se devait.
On dit souvent que la mobile est un métier de célibataire, à juste titre, car mener une vie familiale est très périlleux, entre les déplacements professionnels et la fougue de jeunes mâles plein d’hormones..
Seulement, il n'a pour l'instant connu que des amourettes, aucun grand amour, c'est seulement lorsqu'il était en école d'officiers qu'il rencontra Manon, jeune ingénieure de la Direction Générale de l'Armement (DGA), en stage à Melun pour deux mois qu'il eut pour la première fois, un véritable coup de cœur, cette jeune femme pleine de vie, d'une beauté à couper le souffle ...
en plus de cela, elle était intelligente, cultivée, et le plus important de tout, ils étaient sur la même ligne idéologique, ce qui comptait énormément pour Alexandre, elle était une bonapartiste convaincue et depuis son plus jeune âge avait toujours fréquenté les milieux nationalistes, sûrement grâce à l'éducation que son père lui a fourni (garde du corps de Marion Maréchal Lepen).
Elle avait plus d'amour pour son pays que quiconque sur cette planète, elle se battait idéologiquement sans cesse pour glorifier l'histoire de notre pays, pour rétablir la vérité que les manuels d'histoire ne cessent de bafouer en inculquant à nos enfants des détails historiques futiles tout en occultant les grandes périodes de notre histoire.
Nous nous sommes rencontré lors d'une conférence dispensée par le Délégué Général de la DGA de l'époque, cela a tout de suite collé entre nous, nous avions au delà même des mêmes idées, les mêmes centres d'intérêts, les mêmes valeurs, les mêmes préoccupations, lorsque nous nous sommes rencontrés, j'ai tout de suite su qu'il s'agissait de la femme de ma vie, tout est allé très vite, en un mois nous avons rapidement tissé un lien indéfectible, nous étions d'une complicité déconcertante, cela choquait tous mes camarades, tous ses collègues. C'était une évidence, au bout d'un mois, nous ne pouvions plus nous passer l'un de l'autre, lorsque je finissais un cours, je me précipitais pour la rejoindre et inversement, nous nous sommes mis en couple, elle habitait non loin de Paris, à Brétigny-sur-Orge, elle travaillait au Centre d'Essais en Vol de Brétigny (DGA), à la fin de ma formation, lorsque j'ai été affecté en Haute-Garonne en tant que Commandant de Brigade, elle a décidé de se faire muter à la DGA Techniques Aéronautiques de Balma (Toulouse), ce qui nous a permis d'aménager ensemble.
Nous avons beaucoup voyagé ensemble, je me souviens de ce voyage, à Naples ..
Mémorable, notre amour n'a fait que se confirmer, nous vivions sans doute, ce pour quoi nous avons été créé. C'est à Amalfi que nous avons conçu la petite Elise, notre petite fille, le deuxième amour de ma vie.
Lorsque je suis passé Capitaine, je suis resté dans la région, ce qui a facilité les choses concernant la scolarité de notre fille et la vie professionnelle de Manon, même chose lorsque je suis passé Commandant, notre situation devenait de plus en plus confortable. Nous nous mariâmes en 2014.
En effet, entre mes promotions successives ainsi que celles de Manon, nous nous constituions petit à petit un patrimoine plus que correct et offrions à notre petite Elise un cadre de vie idéal.
Avec Manon, nous n'étions quasiment jamais dans le conflit, même le métier que j'avais (pouvant être source de conflit, surtout à un grade comme le mien, me privant de vie privée régulièrement), n'était pas un problème pour elle, au contraire, c'est elle qui m'a poussé à faire l'Ecole de Guerre, elle me tirait vers le haut, elle est ma raison de vivre.
Lorsqu'il a fallu prendre la décision de tout quitter pour aller vivre sur Altis, ma petite fille avait 9 ans, nous avons pris la décision en famille et avons accepté les contraintes qui allaient avec, j'ai réussi à scolariser rapidement Elise dans une école privée française, dans laquelle elle peut désormais continuer sereinement ses études primaires.
Ma mission de commandement sur Altis fut compliquée. Entre les conflits armés et les soucis de comportements internes au sein de la brigade, la tâche qui m'incombais n'était pas une partie de plaisir. Après quelques années de commandement, j'ai décidé de démissionner.
Ma retraite a été prise très jeune. J'ai aujourd'hui 43 ans, nous profitions de la vie avec ma petite famille de rêve.
Mais tout n'est pas toujours tout rose. Depuis que je suis inactif, je ne suis plus aussi épanoui que jadis. Manon et moi avons vite compris qu'il manquait quelque chose dans ma vie. J'étais prêt à repartir de zéro. A tout recommencer, au péril de la carrière qui fut la mienne autrefois. Je ne pouvais pas rester sans activité. La gendarmerie me hante chaque jours, les remords que j'ai de l'avoir quittée si tôt me rongent. Ce qu'il me fallait, c'était réessayer une dernière fois. Pour être fixé. Je voulais aider les gens. A mon humble niveau qui serait celui de nouvelle recrue, sans tenir compte de mon passé.
J'ai alors décidé de postuler.
(A suivre.)
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