Presentation de fabrizio

Fabrizio Belcanto

Citoyen d'Altis
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2 Mai 2019
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Bonjour,


Pour commencer, voici quelques mots sur moi : je m'appelle Fabrice, j'ai 43 ans.

J’aime les jeux vidéos depuis mon enfance et j’ai évolué avec mon temps a travers multiple console de jeux et pc. J’aime les nouveautés et depuis peu être actif dans des roleplay en ayant traverser plusieurs iles

ID ARMA : 76561198081311440

Description de mon personnage:

Je m'appelle Fabrizio Belcanto

Né en 1974 dans les bouche du Rhône
J'ai 43 ans
Je suis de nationalité Française
Mes défauts : Trop franc et impulsif parfois
Mes qualités : Adaptation rapide, Don de soi-même pour toute situation.


Mon personnage :

Je suis né en France avec la même nationalité que mon père Sicilien né en 1955 et d'une Mère aux origines de l’ile de Sardaigne née en 1952. Dans mon adolescence, j’ai vécu plusieurs séparations de mes parents qui aboutissaient sur des reconstructions de leur vie. Mais après plusieurs essais, ils ont fini par divorcer et je suis resté avec mon père. Bien que j’aimais ma mère plus que tout, j’étais désireux de faire connaissance avec mon père, lui que je regarder sans cesse sans dire un mot, lui qui me fasciner par sa froideur et son sang froid quelque soit la situation. J’ai bien essayé de lui ressemblé mais à force de fréquenté de mauvaises personne, je me suis retrouvé très vite dans la rue a dealer de la drogue, pour subvenir a mes propres besoins, tout en essayant de ne pas tomber entre les mains de la police. J’ai deux frères et une sœur que je n’ai plus vue depuis des années, pour eux je suis sans doute mort ou SDF, à cause des situations auxquels je les ai mêlées. L’envie d'une nouvelle vie alors me pris afin de m’enfuir de tout ce qui était négatif autour de moi-même, essayé de me rebâtir un avenir, celui, qui tout au fond de moi, étais ce que j’espérais : Fonder une famille, avoir un travail et pourquoi pas une maison et des enfants. Mais où allez ? Car ma réputation de bandit ou de petit voyou m’avait précédé de partout dans la région et des départements voisins et quoi faire ? Car maintenant faut bien l’avouer je n’ai aucun bagage en poche et ne sais rien faire.

Alors je m’installai chez une amie et décida de reprendre les études pour passez mon BEPC, que j’ai finalement obtenu sans mention. Puis j’ai suivi des formations militaire pour casser mon instinct de bandit et de me mettre aux services des mes instructeurs. Découvrant que la discipline finalement me convenait le mieux, je décide de passez tous les concours pour me retrouver dans les chasseurs alpins. C’est la que j’ai rencontrer mon premier vrai ami, il était pourtant que de passage, après quelques mois passez ensemble il prit la décision de s’engager dans l’armée de terre section infanterie. Durant une longue discussion et ne voulant plus me retrouver tout seul je pris la même décision que lui. Le hasard de la vie ne nous a plus jamais séparé, jusqu’à ce jour où pendant une garde, nous avons escorté un ressortissant Syrien. Durant le trajet tout était calme et contrôlé. Lorsque que le cortège fut arrêter pas ce qui semblait être un accident. Mon caporal et moi-même descendit de la voiture de tête et mon ami resta avec le prisonnier a l’arrière dans le SUV. C’est bizarre mais, c’est au moment où je prenais place pour assurer les arrières de mon supérieur que l’idée d’une embuscade pourrait avoir lieu ici même, malheureusement ma prémonition est devenu réalité, des snipers syriens posté en haut des maison ont fait feu sur nous, touchant le caporal a la tempe et moi a l’épaule et deux fois sur le biceps et la main et c’est a ce moment la que je vis d’autres soldat ennemis prendre d’’assault le SUV d’escorte, ils libèrent le prisonnier et sorti mon ami afin de le poster a genoux devant moi et le tua de sang froid. Me croyant certainement mort car la douleur et la peur me paralysé, ils me laissèrent la gisant sur le sol sans même demander leur reste. Les minutes qui ont suivi ont duré des heures, je me demandais bien ce qui allait m’arriver maintenant et puis j’entendis un hélicoptère et avec toutes cette fumée je n’ai pas vu au début que c’était ma section qui venait nous chercher et puis en les entendant parler, j’ai poussez un souffle de soulagement et je me suis évanoui me réveillant quelques heures âpres a l’hôpital militaire. De là mon mental avait pris un coup, je venais de perdre la seule personne à qui je me confier, tous les jours il connaissait un peu plus de moi, il m’apprenait à m’ouvrir aux autres pour que si une situation comme celle qui est arrivé, pouvait me permette de ne pas de replonger et de parler a quelqu’un d’autre. Tout au long de mon séjour, j’ai fait une grosse dépression, je ne m’en remettais pas, moi qui avait tout fait pour me bâtir une autre vie, je perdais aussi cette victoire. Durant ma convalescence dans un hôpital de France, on m’a appris que finalement je récupérai mon bras en entier au fil du temps mais que je ne pourrais plus exercer ce dont pour quoi je vivais dorénavant. A ma sortie d’hôpital ne voulant pas être rattrapé par mon passé j’ai décidé de parti sur l’ile de belle ile en mer, la ou mon ami était natif, histoire de me rapprocher de lui afin d’aider ces proches à mon tour et essayer de recommencer faire du bien autour de moi.
 

Nelson McCry

Caneton Officiel d’Agorapolis
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