- 22 Mars 2015
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Le convois s'ébranle dans un ronronnement puissant.
Les Mercedes s'avancent dans leur chuintement caractéristique.
Elles se mettent en formation, accélèrent, tournent avec une synchronisation à toute épreuve.
L'allure est vive.
La destination déjà en vue.
Sur place, un colosse leur fait signe puis remonte dans son camion aux couleurs de ma SRT. Il l'avance et ouvre brièvement l'accès à la caserne de pompiers, avant de le refermer aussitôt. Faisant de son truck un rempart aux potentiels attaques extérieurs.
Les voitures s'engouffrent dans la brèche.
Les freins crissent.
Les portières claquent.
L'arme à la main, les Corleones se répartissent, protègent le lieu.
Lucky et Olrik s'avancent vers un commandant ébété, le saluent, lui parlent.
Il comprend, mais ne dit rien. Son doigt pointe une direction. Il ne peut approuver. Mais il résiste à sa façon.
Il lance alors un appel, et les quelques soldats du feu, ambusqués, la hache à la main, sortent de leurs cachettes.
Quelques minutes plus tard, ils rejoindront les Corleones à l'extérieur, résistant à leur façon.
Dans la salle de commandement, le duo mafieux s'approche d'un micro. Leur regards se croisent, Lucky appuie sur le bouton. Les lèvres du Consigliere s'agitent.
Sur toute l'île, les hauts parleurs gouvernementaux se mettent à grésiller.
Puis une voix forte, claire, pleine de convictions et teintée d'un léger accent Sicilien leur fait cracher ces mots :
Les Mercedes s'avancent dans leur chuintement caractéristique.
Elles se mettent en formation, accélèrent, tournent avec une synchronisation à toute épreuve.
L'allure est vive.
La destination déjà en vue.
Sur place, un colosse leur fait signe puis remonte dans son camion aux couleurs de ma SRT. Il l'avance et ouvre brièvement l'accès à la caserne de pompiers, avant de le refermer aussitôt. Faisant de son truck un rempart aux potentiels attaques extérieurs.
Les voitures s'engouffrent dans la brèche.
Les freins crissent.
Les portières claquent.
L'arme à la main, les Corleones se répartissent, protègent le lieu.
Lucky et Olrik s'avancent vers un commandant ébété, le saluent, lui parlent.
Il comprend, mais ne dit rien. Son doigt pointe une direction. Il ne peut approuver. Mais il résiste à sa façon.
Il lance alors un appel, et les quelques soldats du feu, ambusqués, la hache à la main, sortent de leurs cachettes.
Quelques minutes plus tard, ils rejoindront les Corleones à l'extérieur, résistant à leur façon.
Dans la salle de commandement, le duo mafieux s'approche d'un micro. Leur regards se croisent, Lucky appuie sur le bouton. Les lèvres du Consigliere s'agitent.
Sur toute l'île, les hauts parleurs gouvernementaux se mettent à grésiller.
Puis une voix forte, claire, pleine de convictions et teintée d'un léger accent Sicilien leur fait cracher ces mots :
A vous tous,
Altiens, immigrés, apatrides,
Entendez vous le cris sourd du pays qu'on enchaîne ?!
Notre gouvernement a perdu un bataille, livrant à la servitude et au joug soviétique des centaines d'entre nous.
Mais nous n'avons pas perdus la guerre !
Rien n'est perdu puisque dans l'Altis libre, libre de toute oppression, d'immenses forces ne se sont pas encore données.
Rien n'est perdu puisque ces immenses forces, moi, Olrik Corleone, j'entends les fédérer.
Puisque notre gouvernement, dirigé par un gouverneur aussi invisible qu'intile a été balayé, a abdiqué, rampé,
Moi Olrik Corleone entends le remplacer.
Loin de vouloir vous diriger,
Loin de vouloir m'enrichir,
Je veux vous unir sous la même bannière, que l'on nomme Liberté.
Préparez vous, citoyens d'altis!
Tenez vous prêts.
Ohé partisans, ouvriers et payants ! C'est l'alarme !
C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères !
Rassemblons nous vous dis-je !
N'allez pas seul au combat.
Ne cherchons pas un combat sanglant, trop d'entre nous ont peris, trop d'otages sont derrière le rideau de fer.
Contenons l'ennemi à la frontière qu'il a établit !
Empêchons sa progression rougeâtre et sale sur les terres de notre peuple !
Ce régime s'effondrera bien avant de marcher sur Athira.
Et vous ! Vous qui avez été abandonnés par votre propre gouvernement !
Vous qui êtes enfermés dans Sofia et ses alentours !
Sachez que nous vous soutenons.
Résistez ! Sabotez ! Piègez !
Les vrais vous fourniront, aideront, sauveront.
Moi, Olrik Corleone, vous assure de mon soutiens !
Moi, Olrik Corleone, prends rendez vous en ce moment même avec divers groupes paramilitaires pour faire ce que le gouvernement n'a sus réaliser.
Moi, Olrik Corleone, ais rendez vous ce soir même à Sofia, avec l'ennemi, pour défendre les yeux dans les yeux votre cause.
Moi, Olrik Corleone, déclare comme seul élu digne de confiance William Velucci, que j'élève par la présence, aux yeux du peuple, Gouverneur d'une île dorénavant occupée.
Contactez le, il saura vous diriger à moi.
Et toi, toi stupide gouverneur, sache que Mr. VELUCCI découvre ce message en même temps que toi.
Toi, stupide gouverneur, sache que tu ne vaux pas mieux que l'envahisseur.
Et enfin toi, toi soviétique, toi communiste, rapelles toi la guerre froide.
Rappelles toi que ce soir même, je viendrai sans armes te faire face, et t'exprimer mon ressentit.
Rappelles toi enfin de mon nom, grave le dans ta mémoire, tu auras tous le loisir de le répéter sur l'île où tu seras enfermé, détenu à jamais avec tes compagnons d'infortune.
Restez à l'écoute, d'autres messages suivront !
Vive Altis ! Vive le Gouvernement de l'Altis Libre ! Vive la démocratie ! Vive la Liberté ! Vive les Corleones.
Altiens, immigrés, apatrides,
Entendez vous le cris sourd du pays qu'on enchaîne ?!
Notre gouvernement a perdu un bataille, livrant à la servitude et au joug soviétique des centaines d'entre nous.
Mais nous n'avons pas perdus la guerre !
Rien n'est perdu puisque dans l'Altis libre, libre de toute oppression, d'immenses forces ne se sont pas encore données.
Rien n'est perdu puisque ces immenses forces, moi, Olrik Corleone, j'entends les fédérer.
Puisque notre gouvernement, dirigé par un gouverneur aussi invisible qu'intile a été balayé, a abdiqué, rampé,
Moi Olrik Corleone entends le remplacer.
Loin de vouloir vous diriger,
Loin de vouloir m'enrichir,
Je veux vous unir sous la même bannière, que l'on nomme Liberté.
Préparez vous, citoyens d'altis!
Tenez vous prêts.
Ohé partisans, ouvriers et payants ! C'est l'alarme !
C'est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères !
Rassemblons nous vous dis-je !
N'allez pas seul au combat.
Ne cherchons pas un combat sanglant, trop d'entre nous ont peris, trop d'otages sont derrière le rideau de fer.
Contenons l'ennemi à la frontière qu'il a établit !
Empêchons sa progression rougeâtre et sale sur les terres de notre peuple !
Ce régime s'effondrera bien avant de marcher sur Athira.
Et vous ! Vous qui avez été abandonnés par votre propre gouvernement !
Vous qui êtes enfermés dans Sofia et ses alentours !
Sachez que nous vous soutenons.
Résistez ! Sabotez ! Piègez !
Les vrais vous fourniront, aideront, sauveront.
Moi, Olrik Corleone, vous assure de mon soutiens !
Moi, Olrik Corleone, prends rendez vous en ce moment même avec divers groupes paramilitaires pour faire ce que le gouvernement n'a sus réaliser.
Moi, Olrik Corleone, ais rendez vous ce soir même à Sofia, avec l'ennemi, pour défendre les yeux dans les yeux votre cause.
Moi, Olrik Corleone, déclare comme seul élu digne de confiance William Velucci, que j'élève par la présence, aux yeux du peuple, Gouverneur d'une île dorénavant occupée.
Contactez le, il saura vous diriger à moi.
Et toi, toi stupide gouverneur, sache que Mr. VELUCCI découvre ce message en même temps que toi.
Toi, stupide gouverneur, sache que tu ne vaux pas mieux que l'envahisseur.
Et enfin toi, toi soviétique, toi communiste, rapelles toi la guerre froide.
Rappelles toi que ce soir même, je viendrai sans armes te faire face, et t'exprimer mon ressentit.
Rappelles toi enfin de mon nom, grave le dans ta mémoire, tu auras tous le loisir de le répéter sur l'île où tu seras enfermé, détenu à jamais avec tes compagnons d'infortune.
Restez à l'écoute, d'autres messages suivront !
Vive Altis ! Vive le Gouvernement de l'Altis Libre ! Vive la démocratie ! Vive la Liberté ! Vive les Corleones.
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