Rebelle Journal de bord Mamoufie Godard

[Jean Salan]

Journal de bord PERSONNEL donc non utilisable en jeu.

Nouveau départ :

Mamoufie Sanchez n'est plus qu'un lointain souvenir. Cette mascarade avait assez durer d'ailleurs.
Les ordres viennent du sommet, il est temps d'agir et de mettre en place la section Delta sur l'île.
Après avoir emmagasiner un maximum d'argent sous une couverture, le plan peut être appliqué à la lettre.
Un jour tant attendu pour moi, j'ai enfin l'impression que le début de quelque chose de grand est en cours.

Aujourd'hui nous prenons contact avec les autres cellules dormante de l'île d'altis. Demain les ordres vont tombés et la tâche va être rude !

 

[Jean Salan]

Chapitre I : L'audace.

Après avoir fait rapidement connaissance de mes équipiers, les ordres furent donner de récolter l'argent là où il dort.
La banque.... Mais nous n'avons aucune arme pour le moment, décision fût prise de faire une banque factice.
Nous avons pour cela braquer et trouver un civil qui traîner dans les rues ! Le braquage était dangereux car nous n'avions que des pistolets d'alarme. L'effet de nombre et de peur été notre seul chance. Une fois dans la banque, les négociations avec la police nous ont permis de prendre la fuite en bateau avec les lingots en poche. L'argent sécuriser notre première mission accomplie. Le soulagement, la pression qui retombe, tout ça vite oublié par un appel téléphonique. Demain les chefs ont d'autres missions pour nous. Cette victoire n’annonce en rien une vie paisible pour nous. C'est uniquement le début de quelque chose qui me dépasse en tant qu'homme.

 

[Jean Salan]

Chapitre II : L'effort.

Journée de travail pour aujourd'hui ! Nous allons devoir mettre les mains à la patte cette fois ci ! Impossible de ne pas y passer, le trafique de drogue. Je déteste ces merdes ça me troue le cul d'aller en faire... Mais j'y suis obligé, pour l'argent et parce que les ordres sont :
Un maximum d'argent en un minimum de temps, pas le choix.
Aujourd'hui ça va être cocaïne puis Marijuana pour finir avec héroïne. Comme ça on verra qui contrôle vraiment quoi.
Pour l'instant on a eu de la visite pour la Mari et la cocaïne, rien du coter de l'héro. Va falloir continuer comme ça encore pendant quelques jours le temps de se faire un maximum d'argent. Mais bientôt le devoir sera bien plus salissant encore.

 

[Jean Salan]

Chapitre III : Les fondations.

Maintenant que nous avons la marchandise il va falloir la vendre. Pour ça je sais très bien vers qui aller. Mes anciens amis de Sinaloa seront la pour nous. Ce sont des bons gars et ils s'y connaissent la dedans. Je sais qu'avec eux le travail sera bien fait. Nous avons commencer à prendre nos marques dans certains secteurs. Nous ne voulons pas nous cloîtrer dans une ville en particulier. Histoire de garder l'anonymat et de ne jamais pouvoir être pris au dépourvu. Demain enlèvement donc aujourd'hui shopping.... Des cagoules propres ainsi que des menottes dernier cri.
La camera n'est pas de bonne qualité pour des questions pratique. Je commence a être serein de nos forces en faisant le bilan de nos comptes en banques. Notre mission sera faite, et bien faite. La section frappe qui elle veut quand elle veut et où elle veut.

 

[Jean Salan]

Chapitre IV : Le message.

Après une récolte de marijuana, il est l'heure. Nous devons faire passer un message au gouverneur de l'île. Et cela va se faire via un civil que nous allons capturer. J'espère de tout mon cœur pour le bien des habitants d'Altis que le gouverneur répondra vite et positivement à nos demandes. Sinon je n'ose imaginer ce que les chefs ont de prévu pour nous.

 

[Jean Salan]

Chapitre V : La traque

Nouveau jour, nouvel ordre de mission.
Nous devons chercher un homme qui traîne dans les rues de Pyrgos. Il nous le faut de préférence vivant pour obtenir des informations.
Seul l'état major connait son nom, nous n'avons que son surnom, el poyo, une photo de lui nous a été fournis pour nous aider à le repérer.
Après une enquête des hommes, une information est vite remontée à nos oreilles, il serait à Rodopoli.
Nous partons avec hâte chercher l'individu.
S'en suis une course poursuite entre sa BmW et la notre, malheureusement pour lui notre pilote a bien mieux négocier les courbes de l'asphalte.
Il sort et ouvre le feu se sachant en grand danger, je le comprends il savait qu'il aurait passé un moment dans nos cages...
Sa mort n'était plus évitable, nous devions riposter face à ses tirs. Son décès a ravis le haut commandement.
Mais pour nous, aucune informations, nous ne savons pas qui été cette homme ni ce qu'il a fait de mal.

 

[Jean Salan]

Chapitre VI : La réponse.

Suite à la réponse du gouvernement envers notre demande plus que justifié. Nous avons eu ordre de frapper.
Notre première cible se devait d'être de moyenne ampleur.
Une voiture, un hôpital, des explosifs, le plan était fait. Nous observons alors trois citoyens d'altis se diriger vers l'hôpital...
Leurs joie de vivre, leurs rires... L’innocence semblait se dégager de ces jeunes hommes... La bombe était déjà en place, le regard des hommes de la section planer sur moi. Je ne pouvais plus reculer et pourtant.... Ce n'était pas l'envie qui me manquer. Après tout pourquoi frapper des civils innocents pour la malhonnête de riches corrompus...?
Un silence assourdissant retentis, le temps d'un instant je sentais la douce brise méditerranéenne qui venait fracasser ses longs souffles sur mes mains. Les mains moites, le regard vide je sens mon pouce s'enfoncer sur la touche d'activation.
J'entends la détonation au loin.... Je détourne le regard de l'explosion, j'attends 5 minutes avant d'arriver sur la zone pour ne pas attirer de soupçon. Je ne suis pas dans mon assiette mais je ne laisse rien paraître. Il est temps d'essayer de vivre avec et de passer à autre chose.

 

[Jean Salan]

Chapitre VII : La bravade

Suites aux récents heurts avec les habitants de Néochorie nous avons dû prendre des mesures punitives.
Nous avons capturer un de leurs homme au saut du lit, nous ne lui avons fais aucune sévices corporel pour cette fois.
Il a transmis je l’espère le message. Auquel cas je ne voudrais pas être à leur place....

 

[Jean Salan]

Chapitre VIII : Le déshonneur.

Tuer, voilà le programme d'aujourd'hui. Et encore si cela pouvait se limiter à juste tuer je serais peut-être le plus heureux des hommes.
La perfidie de nos chefs, qui fait d'eux de grands hommes de commandement est tel que nous devrons afficher et placarder ces morts.
Nous choisirons des civils, des "rebelles" tous seront éligible à notre liste du dernier souffle de vie.
L'odeur de transpiration dans la voiture se mêle à un silence accablant. Nous savons tous que nous allons perdre une part de notre humanité en ce jour. Une étape de notre vie va être franchis. Faire exploser une voiture pour tuer des civils m'a fait perdre le sommeil ces derniers jours...
En exécuter une dizaine d'une balle dans la tête à bout portant ne pourra que me tuer à petit feu. Je le sais bien, mais je me dis au fond de moi que notre cause est juste. A une juste cause, mort civil s'accompagne.

C'est fais, nous sommes sur le chemin du retour, j'ai envie de vomir. Les larmes les plus douloureuses sont bien celles qui ne coulent pas. Je me sens déchirer de l'intérieur. J'ai remplis ma mission, mais j'ai un sentiment de dégoût et de déshonneur qui me ronge le corps et l'esprit. J'ai pris la décision de donner une manne financière importante aux familles des victimes, même si ce n'est pas l'argent qui adoucira leurs peine et leurs rages.

 

[Jean Salan]

Chapitre IX : L'ascension

Aujourd'hui nous avons reçus nos cargaisons d'armes. La livraison vient d'être faite, les hommes vont enfin pouvoir découvrir le chargement qui nous avait été promis.
Sans avoir même le temps de m'équiper, nous recevons l'ordre de partir en direction de Néochorie pour y discuter avec des membres du GPI.
Le désordre et la franche camaraderie qui règne au sein de notre équipe fait que nous n'arrivons pas de manière.... Furtive....
Rapidement un Ifrit un Strider et un MH-9 nous encerclent, le strider fonce droit sur moi.
Je lui dis de ne pas descendre auquel cas il mourra, il est descendu....
De là nous avons engager le combat au milieu de rien, une maison toute défoncer nous sert de refuge.
Nous allons perdre 3 hommes dans le début de ce combat qui n'était vraiment pas en notre faveur, tant quant au placement qu'à l’effectif.
Ils devaient être environ 10/12 contre 5... Mais par la force des choses nous avons réussis à retourner la situation.
Mon ami en tue quatre, pour ma part j'en tue cinq. Le combat devient stérile.... Ils sont environ deux ou trois en vie et restent dans leurs blinder en nous ordonnant de nous rendre. Nous partons alors chacun de notre coter. Je pense qu'ils ont compris que nous ne sommes pas ici pour les caresser dans le sens du poil. J’espère qu'ils vont rapidement se rendre à l'évidence et se plier à nos règles, ce serait dommage pour eux.

 

[Jean Salan]

Chapitre X : La guerre

Une guerre se prépare, le GPI va devoir répondre aux conséquences de leurs ambitions.

 

[Jean Salan]

Chapitre XI : La dernière chance

Aujourd'hui planning charger, comme d'habitude.
Une longue discussion va avoir lieu avec les membres du GPI. Nous allons leurs laisser une ultime alternative, après cela nous ne pourrons plus rien faire pour eux.
Nous devrons nous montrer convainquant et persuasif mais ne pas les prendre de haut. Les traiter en égale.
Il y a eu beaucoup de mésaventures avec ces hommes mais je sens que la paix est encore possible. Leurs hommes sont braves dans le fond.