Journal de Bord : (H.R.P.)
Cher journal,
J’éprouve aujourd’hui le besoin de raconter mon exil français.
Je suis arrivé sur Altis il y a maintenant quelques mois, je m’appelais Tinoua Mesrine j’étais désorienté, perdu et me sentais bien seul dans cette ile.
Apres m’être perdu dans Kavala plusieurs fois j’ai airé trop souvent et pensais mettre fin à mes jours.
Sur la place centrale je fis la connaissance d’Eden Minor. Il me demanda ce que je voulais faire de ma vie et je ne savais pas trop quoi lui répondre alors il m’embarqua vers Pyrgos la deuxième plus grande ville d’Altis.
Me voilà arrivé à Pyrgos avec quelqu’un de fort sympathique (avec qui je m’amuse et retrouve gout à la vie petit à petit) et nous décidâmes de travailler ensemble afin de jouir des plaisirs d’Altis ensemble.
Mais pour travailler sur cette ile il faut soit allé voir d’autre entreprise soit avoir du matériel pour transporter les cargaisons. Bien évidemment ni Eden ni moi n’avions de camions.
C’est alors qu’Eden me confie qu’il connaît un certain Armando Corleone et qu’il pouvait nous aider.
Cet Armando Corleone m’impressionnait (je ne lui disais pas évidemment) il avait acquis une certaine connaissance du travail sur cette ile et un savoir-faire certain. Une manière de travailler sans égal.
En plus il avait suffisamment de camions pour nous tous.
Je ne sais pas pourquoi il nous a aidés mais il l’a fait.
Petit à petit je prenais confiance en moi et ne quittais plus jamais mes amis.
Armando Eden et moi apprenaient à manier la pioche comme personne et à atteindre une rentabilité sans pareil.
Cette soif de rentabilité me hanta même dans mon sommeil.
Et très vite nous avons eu besoin d’embaucher du monde afin d’augmenter cette rentabilité.
Sans avoir le droit nous embauchions du personnel pour aller piocher avec nous et ainsi augmenter notre production. Fort de l’expérience d’Armando j’apprenais à contourner la loi pour travailler au noir et ainsi avoir de plus en plus de collaborateurs. Nous n’avions plus le temps de piocher il fallait traiter le rubis et encore traiter ce foutu caillou.
Avec Eden nous passions beaucoup de temps à trouver de la main d’œuvre.
Puis le problème du stockage se fit ressentir et j’avais acquis suffisamment d’argent pour pouvoir acheter une maison bien sûr à Pyrgos.
Le Cartel est omniprésent dans cette région. Nous devons nous plier aux règles. A cette époque le marché de la viande de tortue est régi par ce Cartel. Mais pas grave je décidai d’acheter une maison pour braconner les mers. Il m’en fallait toujours plus. Mes amis (Eden et Armando) étaient toujours là avec moi. Mais je sentais que l’illégal n’était pas le souhait d’Armando.
…..
Cher journal,
J’éprouve aujourd’hui le besoin de raconter mon exil français.
Je suis arrivé sur Altis il y a maintenant quelques mois, je m’appelais Tinoua Mesrine j’étais désorienté, perdu et me sentais bien seul dans cette ile.
Apres m’être perdu dans Kavala plusieurs fois j’ai airé trop souvent et pensais mettre fin à mes jours.
Sur la place centrale je fis la connaissance d’Eden Minor. Il me demanda ce que je voulais faire de ma vie et je ne savais pas trop quoi lui répondre alors il m’embarqua vers Pyrgos la deuxième plus grande ville d’Altis.
Me voilà arrivé à Pyrgos avec quelqu’un de fort sympathique (avec qui je m’amuse et retrouve gout à la vie petit à petit) et nous décidâmes de travailler ensemble afin de jouir des plaisirs d’Altis ensemble.
Mais pour travailler sur cette ile il faut soit allé voir d’autre entreprise soit avoir du matériel pour transporter les cargaisons. Bien évidemment ni Eden ni moi n’avions de camions.
C’est alors qu’Eden me confie qu’il connaît un certain Armando Corleone et qu’il pouvait nous aider.
Cet Armando Corleone m’impressionnait (je ne lui disais pas évidemment) il avait acquis une certaine connaissance du travail sur cette ile et un savoir-faire certain. Une manière de travailler sans égal.
En plus il avait suffisamment de camions pour nous tous.
Je ne sais pas pourquoi il nous a aidés mais il l’a fait.
Petit à petit je prenais confiance en moi et ne quittais plus jamais mes amis.
Armando Eden et moi apprenaient à manier la pioche comme personne et à atteindre une rentabilité sans pareil.
Cette soif de rentabilité me hanta même dans mon sommeil.
Et très vite nous avons eu besoin d’embaucher du monde afin d’augmenter cette rentabilité.
Sans avoir le droit nous embauchions du personnel pour aller piocher avec nous et ainsi augmenter notre production. Fort de l’expérience d’Armando j’apprenais à contourner la loi pour travailler au noir et ainsi avoir de plus en plus de collaborateurs. Nous n’avions plus le temps de piocher il fallait traiter le rubis et encore traiter ce foutu caillou.
Avec Eden nous passions beaucoup de temps à trouver de la main d’œuvre.
Puis le problème du stockage se fit ressentir et j’avais acquis suffisamment d’argent pour pouvoir acheter une maison bien sûr à Pyrgos.
Le Cartel est omniprésent dans cette région. Nous devons nous plier aux règles. A cette époque le marché de la viande de tortue est régi par ce Cartel. Mais pas grave je décidai d’acheter une maison pour braconner les mers. Il m’en fallait toujours plus. Mes amis (Eden et Armando) étaient toujours là avec moi. Mais je sentais que l’illégal n’était pas le souhait d’Armando.
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