Ouvre un petit carnet que mon père m'avait offert à la sortie de l'école de Haut magistrature, me muni de mon stylo et commence à rédiger mes premières aventures en tant que Procureur de la République.
C'est vrai que je n'ai sans doute pas choisi le pays le plus calme au monde, ici tout est différent de l'Europe, pour nous y sommes.
Ici, nous connaissons tous les faits sensibles que peut connaître l'ensemble du monde réuni : drogue, armes, tueries, trafic en tout genre... Sans compter les délits et crimes "classiques".
J'ai beau être le major de ma promotion, rien de tout ça n'était vraiment enseigné...
Le Président de la République @Colin Minoäes, avait pris connaissance de ma lettre de motivation et m'a choisi pour représenter le ministère public, la haute autorité qui se charge de défendre les intérêts de la collectivité, de chaque citoyen. Je suis vraiment honoré, mais je sais d'avance que cette tâche ne sera pas une des plus calmes ; du moins j'espère pour un moment, j'ai l'espoir que cela cesse, que la paix règne.
Ce 8 Février, ce jour où l'espoir de la paix est arrivé dans ma tête.
Je n'ai pas perdu un instant, dès le lendemain je me suis présenté auprès des gendarmes, me faire connaître, mais aussi et surtout fixé une organisation avec cette institution avec qui je vais être en très étroitement collaboration. Je préssens que leur brigade va être mon second bureau.
J'ai retrouvé le Président de la République, le Général de la Gendarmerie @Alexandre de Villiers et deux futurs officiers de police judiciaire qui seront à la tête de ce service. Service avec lequel je serai en étroite communication.
J'ai vraiment senti en eux, une envie profonde de changement, un espoir de paix également. Le risque est grand, le rêve également.
La loi se doit d'être appliquée, en tout lieu, tout temps, les citoyens peuvent me faire confiance, si je dois requérir des peines de prison auprès du Juge, je le ferai, chacun doit pouvoir vivre dans la tranquillité publique la plus totale.
Je referme ce précieux carnet, et me remets au travail.
Je referme ce précieux carnet, et me remets au travail.
