HRP :
RP :
Né dans les années 2000's à Moscou d'un père Russe et d'une mère Française expatriée, il grandit dans les quartiers modestes de la ville pour ses dix premières années. Jusque là il menait une vie normale d'un petit garçon en bas âge, ne s'intéressait pas plus que ça à la culture et la politique jusqu'au jour où il déménagea en Colombie, où il se passionna pour l'Histoire, le social et la politique. Avec très peu de culture française, il était devenu bilingue grâce à ses parents et commença peu de temps après son arrivée à Bogota, capitale du pays, à étudier l'Espagnol.
Quelques années après s'être installé, il était en voie pour rentrer dans une grande école de commerce, comme l'aurait voulu ses parents, mais était plus passionné par la Philosophie et les affaires politiques du moment. Il décida de quitter très jeune le cocon familial pour la jungle, la vraie, en suivant aveuglement des amis à lui, qui semblaient avoir les mêmes idées politiques et sociales que lui. Il a donc rejoint les FARC, pensant rejoindre une organisation fiable et innocente.
Sa formation militaire commença, le monde des armes et de la guérilla ne lui plaisait guère mais il commençait à s'y habituer, il était jeune et con, et venait d'apprendre à utiliser a peu près tout, pilotage, conduite, fusils et armements lourds, il était très doué dans tout les domaines.
L'Etat Major FARC l'envoya donc pourrir sur une île dans le coin de la Grèce, Altis, avec quelques dizaines d'autres camarades, le règne du FARC commençait. Dans le but d’étendre une pseudo-révolution libératrice d'un peuple avec un gouvernement fantôme, une guerre sans vrais idées et sans raisons, mais les ordres étaient les ordres, on se battait pas encore pour nous.
Notre activité se limitait à faire de l'argent, braquer des banques, commettre des insurrections sur le canton de Sofia, on était un peu nos propres chefs, la drogue et les armes coulaient à flot. Cela n'intéressait pas James. Mais le beau jour, façon de parler, nous avons eu ce pourquoi nous étions venus, sans même le vouloir. Un coup d'Etat éclata après des semaines de tensions entre une milice et le gouvernement fantôme en place. Les Maires des villes et les gendarmes firent entrer le LPA dans l'enceinte du conseil national. Le règne de terreur était né.
C'était donc l'Heure. Tant attendu, nous allions nous battre pour nous. Les civils se faisaient frapper, exécuter en pleine rue. Alors de petits contingent rebelles se formèrent. Les explosions commencèrent, et la réplique était forte. Chaque jour, des dizaines de blindés du LPA et de la Gendarmerie nous attaquaient, on tenait bon, Sofia était notre foyer. Nous les FARC arrivions à chaque fois à les repousser, le canton était mis à feu et à sang, les carcasses de blindés brulaient et nos roquettes fusaient.
Puis viens le temps du calme après la tempête, affaibli et en mauvaise posture, le LPA décida d'arrêter ses attaques, nous étions plus tranquille. Moins combatif, au point d'abandonner notre vie de combat pour la plus part. C'était un nouveau LPA, plus corrompu mais moins militarisé, celui du Gouverneur Stark.
La vie continuait, après des petits boulots, et toujours sans casier judiciaire, James s'engagea, par pure aventure, dans la Gendarmerie, au même moment où Stark avait fui l'île avec un beau matelas d'argent. Le calme était parti avec lui, une nouvelle face du LPA nous était montrée, celle de la terreur.
Il quitta donc la gendarmerie, pour des raisons personnelles, et il reprit une entreprise dans le coin de Sofia, il s'est fait beaucoup d'argent grâce à celle-ci, il savait qu'il en aurait besoin. Il devint plus riche que la moyenne et s'engagea en politique, sans étiquette.
Après une petite campagne politique tranquille, James fit tomber de son confort le maire Starling, qui régna sur le canton pendant trois mandats, servant comme un chien le LPA. Il remportait les élections avec une majorité écrasante. Toujours accompagné depuis l'entreprise par son ami Rafael, il créa "Les Colombiens", un groupe de deux camarades anti-gouvernementaux mais surtout intra-gouvernementaux, infiltré dans le gouvernement, disposant d'une immunité sous le dos du LPA et d'informations confidentielles. L'organisation était fondée, les alliances formées, le business pour la financer lancé.
James devint un grand trafiquant d'armes et à la fois un politique, ayant fraichement rencontré le fondateur du Parti Démocrate Altos......A SUIVRE JE CONTINU D'ECRIRE
Je suis membre de notre communauté depuis début 2015, je vis au jour le jour mon expérience RP après trois années de loyaux services.
RP :
Né dans les années 2000's à Moscou d'un père Russe et d'une mère Française expatriée, il grandit dans les quartiers modestes de la ville pour ses dix premières années. Jusque là il menait une vie normale d'un petit garçon en bas âge, ne s'intéressait pas plus que ça à la culture et la politique jusqu'au jour où il déménagea en Colombie, où il se passionna pour l'Histoire, le social et la politique. Avec très peu de culture française, il était devenu bilingue grâce à ses parents et commença peu de temps après son arrivée à Bogota, capitale du pays, à étudier l'Espagnol.
Quelques années après s'être installé, il était en voie pour rentrer dans une grande école de commerce, comme l'aurait voulu ses parents, mais était plus passionné par la Philosophie et les affaires politiques du moment. Il décida de quitter très jeune le cocon familial pour la jungle, la vraie, en suivant aveuglement des amis à lui, qui semblaient avoir les mêmes idées politiques et sociales que lui. Il a donc rejoint les FARC, pensant rejoindre une organisation fiable et innocente.
Sa formation militaire commença, le monde des armes et de la guérilla ne lui plaisait guère mais il commençait à s'y habituer, il était jeune et con, et venait d'apprendre à utiliser a peu près tout, pilotage, conduite, fusils et armements lourds, il était très doué dans tout les domaines.
L'Etat Major FARC l'envoya donc pourrir sur une île dans le coin de la Grèce, Altis, avec quelques dizaines d'autres camarades, le règne du FARC commençait. Dans le but d’étendre une pseudo-révolution libératrice d'un peuple avec un gouvernement fantôme, une guerre sans vrais idées et sans raisons, mais les ordres étaient les ordres, on se battait pas encore pour nous.
Notre activité se limitait à faire de l'argent, braquer des banques, commettre des insurrections sur le canton de Sofia, on était un peu nos propres chefs, la drogue et les armes coulaient à flot. Cela n'intéressait pas James. Mais le beau jour, façon de parler, nous avons eu ce pourquoi nous étions venus, sans même le vouloir. Un coup d'Etat éclata après des semaines de tensions entre une milice et le gouvernement fantôme en place. Les Maires des villes et les gendarmes firent entrer le LPA dans l'enceinte du conseil national. Le règne de terreur était né.
C'était donc l'Heure. Tant attendu, nous allions nous battre pour nous. Les civils se faisaient frapper, exécuter en pleine rue. Alors de petits contingent rebelles se formèrent. Les explosions commencèrent, et la réplique était forte. Chaque jour, des dizaines de blindés du LPA et de la Gendarmerie nous attaquaient, on tenait bon, Sofia était notre foyer. Nous les FARC arrivions à chaque fois à les repousser, le canton était mis à feu et à sang, les carcasses de blindés brulaient et nos roquettes fusaient.
Puis viens le temps du calme après la tempête, affaibli et en mauvaise posture, le LPA décida d'arrêter ses attaques, nous étions plus tranquille. Moins combatif, au point d'abandonner notre vie de combat pour la plus part. C'était un nouveau LPA, plus corrompu mais moins militarisé, celui du Gouverneur Stark.
La vie continuait, après des petits boulots, et toujours sans casier judiciaire, James s'engagea, par pure aventure, dans la Gendarmerie, au même moment où Stark avait fui l'île avec un beau matelas d'argent. Le calme était parti avec lui, une nouvelle face du LPA nous était montrée, celle de la terreur.
Il quitta donc la gendarmerie, pour des raisons personnelles, et il reprit une entreprise dans le coin de Sofia, il s'est fait beaucoup d'argent grâce à celle-ci, il savait qu'il en aurait besoin. Il devint plus riche que la moyenne et s'engagea en politique, sans étiquette.
Après une petite campagne politique tranquille, James fit tomber de son confort le maire Starling, qui régna sur le canton pendant trois mandats, servant comme un chien le LPA. Il remportait les élections avec une majorité écrasante. Toujours accompagné depuis l'entreprise par son ami Rafael, il créa "Les Colombiens", un groupe de deux camarades anti-gouvernementaux mais surtout intra-gouvernementaux, infiltré dans le gouvernement, disposant d'une immunité sous le dos du LPA et d'informations confidentielles. L'organisation était fondée, les alliances formées, le business pour la financer lancé.
James devint un grand trafiquant d'armes et à la fois un politique, ayant fraichement rencontré le fondateur du Parti Démocrate Altos......A SUIVRE JE CONTINU D'ECRIRE
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