HRP
Age IRL : 17 ans
Lieu de résidence : Seine-Saint-Denis
Occupation : J'étudie actuellement en 1ère S, Les jeux vidéos sont pour moi un véritable refuge où je m'évade chaque soir, j'ai énormément joué à World of Warcraft, Minecraft, GTA, Planetside 2 et League of Legends...
Je m’intéresse aussi pas mal aux jeux retro, je possède d'ailleurs une gamecube, une Nintendo 64, une gameboy
et encore plus vieux : une Coleco Vision.
Sinon, j'ai pratiqué le Nihon Taï Jitsu (un art martial dérivé de l’Aïkido et du Judo)
RP
Je suis né le 8 Juin 1994, j'ai donc aujourd'hui, en 2020, 26 ans. J'ai vu le jour dans les bas-fonds de San Francisco. Mon père était un japonais, un puissant chef Yakuza et ma mère une danseuse américaine. Mon père n'était que de voyage lorsqu'il rencontra ma mère, il n'eut qu'une seule relation et pourtant ma mère tomba enceinte.
Mon père, Kiyoshi Taoka, ne me reconnut pas. Il avait déjà un fils, un pur Japonais du nom de Akamis Taoka qui reprendrait les rênes de son organisation à sa mort. Ma mère m'éleva donc seule dans un motel miteux. Et même si je n'étais qu'à moitié japonais, on aurait pu croire que j'en étais un pur souche : Peau jaunâtre, yeux bridés, et cheveux fins Elle enchaînait les petits boulots plus ou moins légaux afin de payer le loyer.
Même si je ne l'avais jamais vu, déjà à l'âge de 5 ans je m’intéressais fortement à mon père, je voyais qu'on écrivait beaucoup sur lui que ce soit dans les journaux ou sur internet ; et je savais qu'un jour j'aurais l'occasion de le rencontrer.
Cependant je ne pensais que je le rencontrerai la veille de mon sixième anniversaire. En effet son fils unique Akamis s'était tué dans une course de voiture à Tokyo. Et à peine eus-je appris la nouvelle que trois jours plus tard, on frappa à la porte. Ma mère était au travail, j'étais donc seul à la maison et j'alla ouvrir. Deux armoire à glace asiatique se trouvait devant moi, l'un d'eux me souleva dans les airs et m'emmena dans un VAN. J'étais en train d'être enlevé à l'âge de 6 ans et pourtant je ne ressentait aucun sentiment de peur, au contraire, le fait d'être emmené par des personnes qui me ressemblait, des asiatiques, me rassurait.
J'arrivai donc chez mon père une semaine plus tard et à partir de ce moment je ne revis plus jamais ma mère. Mon père m'envoya dans une école plutôt prestigieuse de Tokyo. L'école était renommée mais mes résultats laissaient à désirer... Je préférais passer mes journées à me battre, à faire des courses de rue et fumer avec mes amis. La plupart de mes amis étaient les fils des hommes de mon père.
Bizarrement mes résultats scolaires et mon taux d'absence n’inquiétait absolument pas mon père. En même temps, celui-ci avait bien d'autres choses à gérer. Son groupuscule Yakuza lui prenait presque tout son temps et je ne le voyais presque jamais jusqu'à mes 17 ans.
En effet à 17 ans, il commença à m'introduire à ses affaires illégales, il me préparait à prendre sa place. Je devin un vrai Yakuza à l'âge de 18 ans, la séance de tatouage fut très douloureuse. Mon père nous quitta 2 ans plus tard, emporté d'une tumeur au cerveau que les médecins n’arrivèrent pas à repérer à temps.
Je devins donc un des plus jeunes et des plus puissants Chef Yakuza du Japon, trop puissant et trop jeune même... Mon père nous avait quitté trop tôt. Beaucoup trop tôt. Ses alliés n'avait pas confiance en mon inexpérience. La plupart des anciens alliés de mon père m'abandonnèrent. J'avais une confiance aveugle envers tout ceux qui était restés à mes côtés. Cependant voilà comme tout millionnaire inexpérimenté, je devins un stéréotype sur pied. Un camé qui balançait l'argent par les fenêtres pour organiser de gigantesques soirées.
Après quelques mois, je fus très surpris de voir un revenant. Mon demi-frère Akamis n'était en réalité pas mort. Sa mère avait simulé sa mort afin de le protéger des ennemis de notre père. Il me contacta et nous devînmes très proche au point qu'il me rejoignit à la tête de l'organisation Yakuza. Tout se passait excellemment bien.
Jusqu'au jour où... les flics débarquèrent dans nos labo de meth et nos usines de traitements de cocaïne. Ils ne mirent pas longtemps à remonter aux chef abruti de 20 ans que j'étais. Mon frère et moi prîmes pour 20 ans ferme, et nous fûmes exilé du Japon. Je me retrouvais au camp pénitencier de Kavala sur une petite île grecque du nom d'Altis.
Après avoir tout raté, une opportunité s'offrit à moi. Le 4 avril 2017, à l'âge de 23 ans, je fus transférer dans une nouvelle prison de haute sécurité dans la ville de Pyrgos. Cependant le trajet ne se passa pas comme prévu. Alors que nous longions la côte sud d'Altis, une famille rebelle dont le nom m'est inconnu attaqua le convoi afin de faire évader un de leur membre. Je parvins à m'échapper dans la cohue et après deux jours de chasse à l'homme, la police perdit ma trace et je réussi à atteindre Poliakko, à me fondre dans la masse, à me procurer des habits et les clés d'une petite maison de vacances appartenant à un certain Meyer O'Connells d'après la boite à lettre. Cet abruti avait caché les clés sous le pot de fleur devant la porte. J'espère qu'il ne reviendra pas de sitôt comme ça j'aurais un endroit ou pioncer.
Après trois mois, je fis évade mon frère qui avait été envoyé au camp pénitencier d'Athira. Nous avons été recruté par le G.E.A.R. afin de lutter contre le gouvernement qui nous traque mon frère et moi. Nous ne pouvons pas quitter l'île car la douane nous reconnaîtrait trop facilement, les bridés ça court pas les rues sur Altis. Nous vivons donc aujourd'hui une vie paisible en victimisant la gendarmerie du quartier et en s'enrichissant sur le dos des blancs.
Memento Mori / メメント森
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