Présentation IRL
-Age ; 20ans
-Lieu de résidence ; Carcassonne
-Comment avez vous connus le serveur ; youtube, puis des amis qui sont encore sur le serveur
-Vos loisirs, passions ; foot, jeux vidéo, kick boxing
-Paragraphe Libre ; J’ai joué sur quelques serveurs roleplay sur arma mais également beaucoup de battle royale (environ 800h rp/500h autres), j’ai également fait beaucoup de jdr papier.
-Lieu de résidence ; Carcassonne
-Comment avez vous connus le serveur ; youtube, puis des amis qui sont encore sur le serveur
-Vos loisirs, passions ; foot, jeux vidéo, kick boxing
-Paragraphe Libre ; J’ai joué sur quelques serveurs roleplay sur arma mais également beaucoup de battle royale (environ 800h rp/500h autres), j’ai également fait beaucoup de jdr papier.
Présentation RP
-Nom et Prénom de votre personnage ; James Ward
-Age de votre personnage ;29 ans
-Nationalité de votre personnage ; Américaine (chicagoans)
-Age de votre personnage ;29 ans
-Nationalité de votre personnage ; Américaine (chicagoans)
Histoire RP
*Dans un avion en direction d’Altis un homme sort une caméra et commence à se filmer*
Mon nom est James Ward, je suis né à Chicago d’une mère infirmière et d’un père sans emploi, du moins c’est ce que j’ai cru pendant un moment, plus tard j’ai su que c’était un dealer et c’est ce qui lui a malheureusement coûté la vie. Je m’en rappelle comme si c’était hier, un soir de septembre, il était environ 2h du matin, j’avais un peu plus de 6ans, je dormais lorsque j’ai entendu des cris, ceux de ma mère, deux hommes étaient là devant mes parents assis sur le canapé, à ce moment-là je suis retourné me cacher à l’étage en faisant le moins de bruit possible, quelques minutes plus tard, j’entendis des coup de feux résonner dans la maison. Je suis resté tétanisé pendant plusieurs heures, quand je suis descendu, des policiers et d’autres hommes étaient là, analysant mes parents.
Après cette tragédie, je me retrouvais en famille d’accueil, une famille très gentille à Boston qui avait 3 enfants deux garçons et une fille, j’étais le plus jeune mais j’avais une seule image en tête, celle de mes parents, la détonation qui était comme imprimée dans ma tête et me revenais toutes les nuits. J’ai passé 10 années dans cette famille mais en grandissant je devenais de plus en plus dur, ma peine s’est transformée en haine, des émotions de plus en plus inexistantes, du moins c’était l’image que je donnais de moi-même, je me disais que ce serait plus facile si je ne m’attachais à personne.
Arrivé à mes 16ans, j’étais enfin un « adulte » et ma famille d’accueil me donna une lettre écrite par mon père que je lu et relu attentivement. Je ne savais pas de quand elle datait mais dans cette lettre il me révélait tout, son job, son amour pour moi mais surtout un nom, Ricardo Alvarez, son frère de sang comme il disait avec cela il y avait un numéro.
Après avoir vu ce message, j’ai directement saisi mon téléphone et j’ai appelé le numéro indiqué, cet homme me donna son adresse. Il vivait maintenant en Espagne et je décidais de le rejoindre. Une semaine après, j’étais chez lui où je suis resté un peu plus d’une dizaine d’année travaillant dans l’illégalité totale entre braquage et vente de drogue. Il m’a appris à me battre pour survivre dans ce monde impitoyable et c’est avec lui que j’ai commis mon premier meurtre, c’était pas prévu je voulais pas ça mais vous savez un braquage qui tourne mal et on est obligé de commettre l’irréversible, mais à ce moment-là je me suis senti vivre, puissant, j’avais 23 ans à ce moment-là.
A partir de ce moment-là, je ne réfléchissais plus et toute ma rage accumulée durant des années sortait enfin, je n’avais plus peur d’utiliser mon arme. La mort ne me faisait plus peur jusqu’au jour où j’ai reçu une balle lors d’un règlement de compte, ce qui m’a valu une semaine à l’hôpital, traité par des infirmières, j’imaginais ma mère faisant ce travail et cela a été un prise de conscience à partir de ce moment-là j’avais qu’un mot en tête « vengeance ».
En sortant de l’hôpital, j’ai rencontré un homme, je n’ai jamais connu son vrai nom, c’était un hongrois, il se faisait appelé al, al cartone un peu plus âgé que moi mais un homme sage. Je lui ai raconté mon histoire. Il me dit d’abandonner et de passer à autre chose, « la vengeance ne résoudra rien, il faut que tu avances » disait-il. Je suis resté en contact avec lui pendant quelque temps puis un jour il me dit qu’il voulait quelque chose de neuf. Il me laissa son numéro et me dit qu’il partait refaire sa vie sur une île et me donna juste un mot Altis.
Après son départ, je pris le temps de réfléchir et je pris la décision de retourner à Chicago. Je ne savais pas encore pourquoi mais je devais y aller. J’avais un peu plus de 27ans et j’étais de retour dans ma ville de naissance Chicago. C’était pour moi une très belle ville mais également la ville que je détestais. Après 5 mois ici, je suis retourné dans mon ancienne maison. J’en avais besoin. Un couple y habitait, ils avaient l’air heureux. Après avoir pris mon courage a deux mains et avoir eu le courage de leur parlé, ils me laissaient entrer dans cette maison qui me paraissait totalement étrangère. Je repensais aux mots de Al, il faut que tu avances. La vengeance, ce n’est pas ce que mes parents auraient voulu, Al avait raison je devais avancer, je sorti le papier qu’il m’avait donné où était inscrit son numéro de téléphone et je me souvenais du nom « Altis », c’était la bas que je devais aller.
J’ai donc pris l’avion et me voici arrivé à l’aéroport d’Altis avec une idée, retrouver Al et même si je n’ai pas entendu que du bien de cette île, je n’en ai pas peur, après tout j’ai été entraîné à tuer, je saurais me défendre en cas de problème.
Mon nom est James Ward, je suis né à Chicago d’une mère infirmière et d’un père sans emploi, du moins c’est ce que j’ai cru pendant un moment, plus tard j’ai su que c’était un dealer et c’est ce qui lui a malheureusement coûté la vie. Je m’en rappelle comme si c’était hier, un soir de septembre, il était environ 2h du matin, j’avais un peu plus de 6ans, je dormais lorsque j’ai entendu des cris, ceux de ma mère, deux hommes étaient là devant mes parents assis sur le canapé, à ce moment-là je suis retourné me cacher à l’étage en faisant le moins de bruit possible, quelques minutes plus tard, j’entendis des coup de feux résonner dans la maison. Je suis resté tétanisé pendant plusieurs heures, quand je suis descendu, des policiers et d’autres hommes étaient là, analysant mes parents.
Après cette tragédie, je me retrouvais en famille d’accueil, une famille très gentille à Boston qui avait 3 enfants deux garçons et une fille, j’étais le plus jeune mais j’avais une seule image en tête, celle de mes parents, la détonation qui était comme imprimée dans ma tête et me revenais toutes les nuits. J’ai passé 10 années dans cette famille mais en grandissant je devenais de plus en plus dur, ma peine s’est transformée en haine, des émotions de plus en plus inexistantes, du moins c’était l’image que je donnais de moi-même, je me disais que ce serait plus facile si je ne m’attachais à personne.
Arrivé à mes 16ans, j’étais enfin un « adulte » et ma famille d’accueil me donna une lettre écrite par mon père que je lu et relu attentivement. Je ne savais pas de quand elle datait mais dans cette lettre il me révélait tout, son job, son amour pour moi mais surtout un nom, Ricardo Alvarez, son frère de sang comme il disait avec cela il y avait un numéro.
Après avoir vu ce message, j’ai directement saisi mon téléphone et j’ai appelé le numéro indiqué, cet homme me donna son adresse. Il vivait maintenant en Espagne et je décidais de le rejoindre. Une semaine après, j’étais chez lui où je suis resté un peu plus d’une dizaine d’année travaillant dans l’illégalité totale entre braquage et vente de drogue. Il m’a appris à me battre pour survivre dans ce monde impitoyable et c’est avec lui que j’ai commis mon premier meurtre, c’était pas prévu je voulais pas ça mais vous savez un braquage qui tourne mal et on est obligé de commettre l’irréversible, mais à ce moment-là je me suis senti vivre, puissant, j’avais 23 ans à ce moment-là.
A partir de ce moment-là, je ne réfléchissais plus et toute ma rage accumulée durant des années sortait enfin, je n’avais plus peur d’utiliser mon arme. La mort ne me faisait plus peur jusqu’au jour où j’ai reçu une balle lors d’un règlement de compte, ce qui m’a valu une semaine à l’hôpital, traité par des infirmières, j’imaginais ma mère faisant ce travail et cela a été un prise de conscience à partir de ce moment-là j’avais qu’un mot en tête « vengeance ».
En sortant de l’hôpital, j’ai rencontré un homme, je n’ai jamais connu son vrai nom, c’était un hongrois, il se faisait appelé al, al cartone un peu plus âgé que moi mais un homme sage. Je lui ai raconté mon histoire. Il me dit d’abandonner et de passer à autre chose, « la vengeance ne résoudra rien, il faut que tu avances » disait-il. Je suis resté en contact avec lui pendant quelque temps puis un jour il me dit qu’il voulait quelque chose de neuf. Il me laissa son numéro et me dit qu’il partait refaire sa vie sur une île et me donna juste un mot Altis.
Après son départ, je pris le temps de réfléchir et je pris la décision de retourner à Chicago. Je ne savais pas encore pourquoi mais je devais y aller. J’avais un peu plus de 27ans et j’étais de retour dans ma ville de naissance Chicago. C’était pour moi une très belle ville mais également la ville que je détestais. Après 5 mois ici, je suis retourné dans mon ancienne maison. J’en avais besoin. Un couple y habitait, ils avaient l’air heureux. Après avoir pris mon courage a deux mains et avoir eu le courage de leur parlé, ils me laissaient entrer dans cette maison qui me paraissait totalement étrangère. Je repensais aux mots de Al, il faut que tu avances. La vengeance, ce n’est pas ce que mes parents auraient voulu, Al avait raison je devais avancer, je sorti le papier qu’il m’avait donné où était inscrit son numéro de téléphone et je me souvenais du nom « Altis », c’était la bas que je devais aller.
J’ai donc pris l’avion et me voici arrivé à l’aéroport d’Altis avec une idée, retrouver Al et même si je n’ai pas entendu que du bien de cette île, je n’en ai pas peur, après tout j’ai été entraîné à tuer, je saurais me défendre en cas de problème.
