- 22 Mars 2015
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Présentation IRL
-Age : 17
-Lieu de résidence : Paris
-Comment avez-vous connus le serveur : Via des amis, rencontrés sur arma il y a un petit bail
-Vos loisirs, passions : gaming, salle de sport, toussa
-Paragraphe Libre : Nul n’est censé ignorer l’Omerta, de même, nul n’est censé mourir écartelé.
Présentation RP
-Nom et Prénom de votre personnage : Olrik Corléone
-Age de votre personnage : 39 ans, paraît plus vieux
-Nationalité de votre personnage : Sicilien
Histoire RP
Né dans une famille modeste, Olrik fut dès sa plus jeune enfance bercé dans une monde où corruptions et meurtres étaient monnaie courante. Adolescent sans histoire, il dût faire faces à de moultes reprises aux frasques de son frère, de deux ans son aîné, qui s’évertuait à arnaquer les sbires mafieux régionaux. Cela allait lui coûter la vie.
Un soir, alors qu’il rentrait chez lui, après une longue journée de cours à la fac de droit, Olrik aperçut une mazerati noire garée devant chez lui. Intrigué, il s’approcha sans bruits pour découvrir à travers les carreaux crasseux de la cuisine, un terrible spectacle. Penché au-dessus du cadavre de son frère, un homme vêtu de noir et armé d’une perceuse dernière génération lâcha un filet de bave sur le défunt. « Tu es mort pour m’avoir trompé. Ta famille mourra pour t’avoir éduqué ». Olrik entendit alors un cri déchirant, le cri de sa mère.
Horrifié, il voulut intervenir, mais deux hommes armés gardaient la porte, c’est donc le cœur déchiré qu’il dût voler la mazerati encore ouverte pour sauver sa peau.
Il s’exila sur l’île d’Altis, où il retrouva d’autres de ses compatriotes, auprès de qui il trouva le réconfort et le soutiens dont il avait besoins. Ses talents d’orateurs firent rapidement de lui le Consigliere du groupe, qu’il considère désormais comme sa famille d’adoption. Les actions des Corleones sont très diverses, et particulièrement élaborées, ce qui garantit un taux de réussite des plus brillants.
Sa devise ? « Nul n’est censé ignorer l’Omerta, de même, nul n’est censé mourir écartelé ».
Pour ceux qui se le demandent, la mazerati est bien là, cachée quelque part, en attendant des jours glorieux…
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