Journal du 21 septembre
Il y a longtemps que je rêvais de prendre un nouveau départ et c'est maintenant chose faite. Normalement, je devais arriver le 20 septembre mais le bateau sur lequel j'ai embarqué eut beaucoup de retard et j'ai même cru ne jamais pouvoir poser le pied sur cette nouvelle île. Consommant le peu d'argent que j'avais mis de coté, je m'empresse de passer mon permis et m'achète un quad. Obnubilé par mon achat précipité, j'en oublie d'acheter mon nouveau téléphone. N'ayant pas de pioche ou de licence pour me lancer dans la métallurgie, je me dirige tout naturellement à la sortie de la ville. Surement par précaution ou par peur d être pris au dépourvu, j'avais d'ores et déjà étudié la carte de cette île pour m'en faire une idée avant mon arrivée sur cette terre. Cerné par les champs de pêche et de pomme à proximité de Kavala, j'avais l'embarras du choix.
Ici-bas, bien d'autres personnes avaient connaissance de ces champs et je n'ai pas tardé à rencontrer de nombreuses personnes. En moins d'une journée, les premiers contacts s'ajoutaient déjà à mon répertoire. N'ayant pas un sou vaillant, des recruteurs m'ont même donné généreusement une modeste somme d'argent pour que je puisse m'acheter un pick-up. Titillé par l'appel de la civilisation, je suis finalement rentré à la ville et j'ai conclut cette journée sur une démonstration publique des talents de conducteur d'une personne.
Il y a longtemps que je rêvais de prendre un nouveau départ et c'est maintenant chose faite. Normalement, je devais arriver le 20 septembre mais le bateau sur lequel j'ai embarqué eut beaucoup de retard et j'ai même cru ne jamais pouvoir poser le pied sur cette nouvelle île. Consommant le peu d'argent que j'avais mis de coté, je m'empresse de passer mon permis et m'achète un quad. Obnubilé par mon achat précipité, j'en oublie d'acheter mon nouveau téléphone. N'ayant pas de pioche ou de licence pour me lancer dans la métallurgie, je me dirige tout naturellement à la sortie de la ville. Surement par précaution ou par peur d être pris au dépourvu, j'avais d'ores et déjà étudié la carte de cette île pour m'en faire une idée avant mon arrivée sur cette terre. Cerné par les champs de pêche et de pomme à proximité de Kavala, j'avais l'embarras du choix.
Ici-bas, bien d'autres personnes avaient connaissance de ces champs et je n'ai pas tardé à rencontrer de nombreuses personnes. En moins d'une journée, les premiers contacts s'ajoutaient déjà à mon répertoire. N'ayant pas un sou vaillant, des recruteurs m'ont même donné généreusement une modeste somme d'argent pour que je puisse m'acheter un pick-up. Titillé par l'appel de la civilisation, je suis finalement rentré à la ville et j'ai conclut cette journée sur une démonstration publique des talents de conducteur d'une personne.
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